Utilisez votre clavier F1i vous propose de dĂ©couvrir les coulisses de la vitesse dans une sĂ©rie consacrĂ©e aux visites â en images â des usines des Ă©curies de Formule 1. Aujourdâhui, nous explorons les infrastructures de Red Bull, installĂ©e depuis sa naissance Ă Milton Keynes. Câest Ă Milton Keynes, ville de 230 000 habitants situĂ©e Ă 80 km de Londres, que Red Bull a Ă©tabli ses quartiers-gĂ©nĂ©raux Red Bull depuis ses dĂ©buts en Formule 1 en 2005. Sous la direction de Christian Horner, plus de 850 personnes travaillent, en temps normal, Ă la conception et Ă la fabrication des monoplaces, mais aussi aux fonctions de support traditionnelles finances, marketing, ressources humaines, etc.. SituĂ©es Ă une demi-heure du circuit de Silverstone, les installations de Milton Keynes ont Ă©tĂ© occupĂ©es Ă partir de 1998 par la dĂ©funte Ă©curie Steward Grand Prix, devenue ensuite Jaguar, avant dâĂȘtre rachetĂ©e par Dieter Mateschitz. Si la physionomie du bĂątiment nâa guĂšre changĂ© depuis hormis une mise en peinture aux couleurs du Taureau rouge, le site sâest agrandi au fil du temps et de la montĂ©e en puissance de lâĂ©quipe. Milton Keynes accueille le bureau de design, le dĂ©partement de recherche et dĂ©veloppement, les ateliers, un simulateur, alors que la soufflerie, elle, est installĂ©e Ă Bedford. Quant au site de maintenance des groupes propulseurs de son partenaire motoriste Honda, il ne se trouve quâĂ dix minutes en voiture. DĂ©couvrez les girlfriends des pilotes de F1 dans notre galerie. Suivez lâactu F1 en temps rĂ©el avec F1i sur Facebook et Twitter.
TĂ©lĂ©chargementswallpaperUp Fond d'Ă©cran : des sports, vĂ©hicule, Formule 1, Red Bull, BrĂ©sil, courses, F1, Automobile, Vettel, complexe sportif, voiture de course, piste de course, course automobile, Voiture Ă roue ouverte, formule Un, Voiture de formule un, Course Ă la formule, Interlagos 2500x1500,576369 . We use cookies and other technologies on this website toIci vous pouvez trouver les premiĂšres photos de la toute nouvelle Red Bull RB18, ces photos ont Ă©tĂ© partagĂ©es par le Red Bull Ăquipe de course le 9 voiture sera courue dans le Saison 2022 F1 par chauffeur hollandais Max Verstappen et chauffeur mexicain Sergio PĂ©rez. CORBY, ANGLETERRE â 28 JANVIER Le Red Bull Le Racing RB18 est lancĂ© le 28 janvier 2022 Ă Corby, en Angleterre. Photo de Dan Istitene/Getty Images // SI202202090249 // Utilisation Ă des fins Ă©ditoriales uniquement // MILTON KEYNES, ANGLETERRE â 26 JANVIER Le Red Bull Racing RB18 est photographiĂ© au cours de la Red Bull Lancement du Racing RB18 Ă Red Bull Racing Factory le 26 janvier 2022 Ă Milton Keynes, en Angleterre. Photo de Bryn Lennon/Getty Images // SI202202090259 // Utilisation Ă des fins Ă©ditoriales uniquement // MILTON KEYNES, ANGLETERRE â 26 JANVIER Le Red Bull Racing RB18 est photographiĂ© au cours de la Red Bull Lancement du Racing RB18 Ă Red Bull Racing Factory le 26 janvier 2022 Ă Milton Keynes, en Angleterre. Photo de Bryn Lennon/Getty Images // SI202202090260 // Utilisation Ă des fins Ă©ditoriales uniquement // MILTON KEYNES, ANGLETERRE â 26 JANVIER Le Red Bull Racing RB18 est photographiĂ© au cours de la Red Bull Lancement du Racing RB18 Ă Red Bull Racing Factory le 26 janvier 2022 Ă Milton Keynes, en Angleterre. Photo de Bryn Lennon/Getty Images // SI202202090248 // Utilisation Ă des fins Ă©ditoriales uniquement // MILTON KEYNES, ANGLETERRE â 26 JANVIER Red Bull Le directeur de l'Ă©quipe de course Christian Horner, Max Verstappen des Pays-Bas et Red Bull Racing et Sergio Perez du Mexique et Red Bull Racing talk sur scĂšne lors de la Red Bull Lancement du Racing RB18 Ă Red Bull Racing Factory le 26 janvier 2022 Ă Milton Keynes, en Angleterre. Photo de Bryn Lennon/Getty Images // SI202202090258 // Utilisation Ă des fins Ă©ditoriales uniquement // MILTON KEYNES, ANGLETERRE â 26 JANVIER Le Red Bull Racing RB18 est photographiĂ© au cours de la Red Bull Lancement du Racing RB18 Ă Red Bull Racing Factory le 26 janvier 2022 Ă Milton Keynes, en Angleterre. Photo de Bryn Lennon/Getty Images // SI202202090262 // Utilisation Ă des fins Ă©ditoriales uniquement //Consultez le 2022 Red Bull VidĂ©o de lancement de la voiture RB18 F1.â DĂ©couvrez plus de messages avec des sujets connexes Les 15 derniers articles de fonds d'Ă©cran F1â DĂ©couvrez tous nos Nouvelles F1 & Mises Ă jour "Lesmeilleurs pilotes de F1 22 mis Ă jour. Codemasters vient de mettre Ă jour la note des pilotes de la saison en cours pour correspondre Ă la rĂ©alitĂ© du championnat. Sorti fin juin, le jeu Essai routier de lâAston Martin DB11 Par Philippe LaguĂ« Photos et vidĂ©o François PrudâHomme Quintessence PrĂ©sentĂ©e lâannĂ©e derniĂšre, la DB11 remplace la DB9, dont la carriĂšre a tout de mĂȘme durĂ© une douzaine dâannĂ©es. Entre les deux, il y a bien eu une DB10 mais un seul client a eu le privilĂšge de la conduire et pas nâimporte lequel James Bond. Lâagent le moins secret de la planĂšte est indissociable de la marque britannique depuis Goldfinger 1964, troisiĂšme volet de la plus longue franchise du cinĂ©ma 24 films. On a pu voir la DB10 dans Spectre, le dernier en date de la sĂ©rie sorti en 2015. Pour la petite histoire, dix exemplaires de la DB 10 ont Ă©tĂ© construits mais huit dâentre eux ont Ă©tĂ© dĂ©truits pendant le tournage⊠Ăvolution ou stagnation? Aucun doute possible sur lâidentitĂ© de la bĂȘte la DB11 sâinscrit dans la lignĂ©e des Aston Martin des 25 derniĂšres annĂ©es â plus prĂ©cisĂ©ment depuis lâintroduction de la DB7, en 1993. Ce superbe design, signĂ© Ian Callum, a laissĂ© une empreinte profonde saluĂ©e comme une des plus belles voitures de son Ă©poque, la DB7 a aussi permis Ă Aston Martin de renouer avec la rentabilitĂ©. Un succĂšs Ă la fois critique et commercial, donc. Lâenvers de la mĂ©daille, câest que toutes les Aston Martin se ressemblent depuis ce temps. Câest encore plus vrai pour un Ćil profane, mais mĂȘme pour les connaisseurs, ce nâest pas toujours Ă©vident si on regarde rapidement, il est facile de confondre la nouvelle DB11 avec la DB9 ou lâactuelle Vanquish. Les adeptes du verre Ă moitiĂ© plein diront quâelles sont toutes belles et que câest un heureux problĂšme ; ils nâont pas tort. En revanche, le style Callum commence Ă dater et le temps est venu dâentreprendre un nouveau cycle. Ce qui viendra peut-ĂȘtre avec le renouvellement des Vantage et Vanquish, tous deux prĂ©vus dâici lâan prochain. Ă moins que lâextravagante Valkyrie ne soit le signe annonciateur de la prochaine rĂ©volution Ă Gaydon⊠Les cycles prĂ©cĂ©dents Parlons-en, du design. Un bref retour en arriĂšre permet de constater que ces cycles ont une longue durĂ©e chez Aston Martin mais quâils ont aussi une fin. Le studio milanais Carrozzeria Touring nous a donnĂ© les lĂ©gendaires DB4, DB5 et DB6 des annĂ©es 60 ; dessinĂ©e Ă lâinterne par William Towns, la DBS a ensuite marquĂ© une rupture de style. RebaptisĂ©e tout simplement V8 en cours de route et dĂ©clinĂ©e Ă toutes les sauces, elle a traversĂ© trois dĂ©cennies. Aston Martin, il est vrai, a longtemps Ă©tĂ© en mode survie et nâavait pas les moyens de dĂ©velopper un autre modĂšle. LâarrivĂ©e de Ford, en 1987, a littĂ©ralement sauvĂ© la marque et assurĂ© sa pĂ©rennitĂ©. Peu de temps aprĂšs, Ian Callum, alors chez TWR, sâest vu confier le design de la remplaçante de la vieillissante V8. De toute façon, le point, ici, nâest pas de dĂ©battre de la beautĂ© de la DB11 elle est magnifique. Gracieuse, racĂ©e, elle incarne les valeurs qui dĂ©finissent une Aston Martin. Il suffisait de voir les yeux Ă©carquillĂ©s et les nombreuses marques dâadmiration pendant notre essai pour constater que nous Ă©tions Ă bord dâun objet de dĂ©sir, dâune sculpture sur roues qui dĂ©croche les mĂąchoires. Et qui a sans doute causĂ© plusieurs torticolis. Cela dit, il faut aussi Ă©voluer. Distinction britannique Classe. VoilĂ un mot clĂ© du vocabulaire Aston Martin. La marque britannique fait partie du PanthĂ©on de lâautomobile, au mĂȘme titre que Rolls Royce, Bentley, Jaguar, Porsche ou la Sainte TrinitĂ© italienne Ferrari-Lamborghini-Maserati. Des marques au sang bleu, qui forment une vĂ©ritable aristocratie en raison de leur Ăąge vĂ©nĂ©rable et de leur glorieux passĂ©. On qualifie souvent les Aston Martin de Ferrari anglaises » mais toute comparaison sâarrĂȘte lĂ lâune et lâautre incarnent leur pays dâorigine, tant par leur style que par leur tempĂ©rament. Cela dit, il y a des incontournables pour une GT, peu importe son origine. Le cuir, par exemple. Dans la DB11, il est omniprĂ©sent et, nâen doutez pas, dâune qualitĂ© exceptionnelle. Nos sens - la vue, lâodorat et le toucher - le confirment. Les coutures sont bien en Ă©vidence et câest voulu ainsi ; Ă partir de lĂ , le choix des couleurs et des combinaisons est infini⊠Nous sommes dans lâunivers de la haute couture, mais aussi de la personnalisation. Vous ĂȘtes plus bois ou fibre de carbone? Vous avez le choix. Cette distinction toute britannique imprĂšgne cependant lâhabitacle. LâexcĂšs dâopulence a Ă©tĂ© soigneusement Ă©vitĂ© et on ne dĂ©note aucune faute de goĂ»t. LâĂ©cran qui intĂšgre la navigation et le systĂšme dâinfodivertissement est le seul emprunt Ă Mercedes ; sinon, tous les codes de la marque sont respectĂ©s, incluant lâabsence de levier sĂ©lecteur pour passer les rapports, remplacĂ©s par des boutons-poussoir au tableau de bord. On aime ou pas⊠Terminons avec la finition, qui a longtemps fait lâobjet de sarcasmes mĂ©ritĂ©s lorsquâil Ă©tait question des voitures anglaises. La qualitĂ© dâassemblage Ă©tait souvent artisanale, voire folklorique, et lâergonomie Ă©tait un concept abstrait. Aucune trace de ce passĂ© moins glorieux dans la DB11 mĂȘme si nous disposions dâun exemplaire de prĂ©-production, lâassemblage Ă©tait Ă lâĂ©querre et aucun irritant ergonomique nâa Ă©tĂ© dĂ©celĂ©. Bien sĂ»r, les places arriĂšre sont symboliques, mais la DB11 est une 2+2. Si vous voulez quatre vraies places, achetez-vous une berline, pas une GT. Souvenirs En 25 ans de carriĂšre, jâai conduit prĂšs de 3000 voitures. TrĂšs peu avec des V12, cependant elles se comptent sur le bout des doigts. Ma premiĂšre une Jaguar XJS, en 1990. Je nâĂ©tais pas encore chroniqueur auto et elle nâĂ©tait pas neuve mais bon, câĂ©tait une double initiation la premiĂšre fois que je conduisais une Jag et ma premiĂšre expĂ©rience avec un moteur ayant plus de huit cylindres. Ă San Diego, en plus⊠Inoubliable! LâannĂ©e suivante, je commençais dans le mĂ©tier et jâai pu mettre la main sur une BMW 850. 300 chevaux pour un V12, ça peut paraĂźtre dĂ©risoire aujourdâhui mais le couple ne semblait pas avoir de limite â et ce, malgrĂ© le surplus de poids de cet Ă©norme coupĂ©. Ensuite, il y a une Lamborghini Diablo, lors dâune visite Ă lâusine de SantâAgata, en 1998 ; puis deux Ferrari 456 GT et 550 Maranello, au dĂ©but des annĂ©es 2000. Jâai dĂ» attendre plus de 10 ans avant de conduire une autre voiture mue par un V12. Jâavais Ă©tĂ© invitĂ© au lancement de la Rapide il y a trois ans, Ă Atlanta. CâĂ©tait la premiĂšre fois que je conduisais une Aston Martin mais lâexpĂ©rience nâavait guĂšre Ă©tĂ© concluante nous Ă©tions confinĂ©s sur un petit circuit, avec des instructeurs qui nous aboyaient dans les oreilles. Le son du gros V12 atmosphĂ©rique, par contre, mâa laissĂ© un souvenir impĂ©rissable. Sous le capot Tout ça pour dire que je nâavais conduit quâune demi-douzaine de voitures Ă moteur V12 en un quart de siĂšcle. Câest donc un Ă©vĂ©nement Ă chaque fois. Conduire une Aston Martin en est un aussi câĂ©tait seulement ma deuxiĂšme Ă vie. Et pas nâimporte laquelle les deux exemplaires mis Ă la disposition des chroniqueurs auto avaient Ă©tĂ© prĂȘtĂ©s au deux pilotes de lâĂ©curie de F1 Red Bull pendant la semaine du Grand Prix du Canada. Pour ma part, jâai hĂ©ritĂ© » de celle de Max Verstappen. Pour lâanecdote, jâavais aussi conduit la Mercedes CLK 55 AMG prĂȘtĂ©e Ă David Coulthard, il y a une quinzaine dâannĂ©es. Pour un fou de F1 comme moi, câest une valeur ajoutĂ©e! Le V12, donc. Dâabord, les chiffres 5,2 litres, 600 chevaux et 516 livres-pied de couple. Rien de moins. Contrairement au V12 atmosphĂ©rique de 6 litres des DB9 et Rapide, celui de la nouvelle DB11 est gavĂ© par deux turbocompresseurs. La suralimentation, câest une premiĂšre chez Aston mais que les puristes se rassurent, il ne sâagit pas dâun bloc AMG retouchĂ©. Je prĂ©cise parce que Daimler donc Mercedes est le nouveau partenaire du seul constructeur britannique indĂ©pendant. Le nouveau V12 est 100% Aston et comme ses prĂ©dĂ©cesseurs, il a Ă©tĂ© conçu et construit par les ateliers Cosworth Ă Cologne, en Allemagne. Ceux qui connaissent bien la marque auront fait le lien avec Ford, ex-propriĂ©taire dâAston Martin. Si la cylindrĂ©e du nouveau V12 est infĂ©rieure Ă celle de son prĂ©dĂ©cesseur, la puissance est tout de mĂȘme en hausse, grĂące aux deux turbos. Pour la premiĂšre fois, le cap des 600 chevaux est atteint, ce qui fait de la DB11 la plus puissante de lâhistoire de cette marque dont lâune des raisons dâĂȘtre, aprĂšs tout, est de construire des voitures rapides. La poussĂ©e du V12 est Ă lâavenant mais ce nâest rien de brutal, mĂȘme lorsquâon opte pour le plus sportif des trois modes proposĂ©s GT, Sport et Sport +. Si vous aimez les bĂȘtes sauvages, vous nâĂȘtes pas Ă la bonne adresse la DB11, en bonne Aston Martin, incarne la quintessence dâune GT, au sens vĂ©ritable du terme Grand tourisme. Ce qui ne lâempĂȘche pas dâaccĂ©lĂ©rer comme une flĂšche, comprenons-nous bien ; mais elle le fait, comme tout le reste, avec grĂące. Le sport extrĂȘme, ce nâest pas son truc ; elle laisse ça aux versions radicales de la Porsche 911, par exemple. Sâil y a une dĂ©ception, câest du cĂŽtĂ© de la sonoritĂ©. Encore une fois, tout est relatif son chant a tout pour faire vibrer le commun des mortels. Mais il est moins rauque, moins guttural que celui du V12 atmosphĂ©rique. La faute Ă la suralimentation, Ă©videmment les turbos assourdissent le bruit dâun moteur. Ils augmentent la puissance mais Ă©touffent le son. On ne peut pas tout avoir. Ils permettent aussi de diminuer les Ă©missions polluantes et si vous cherchez la vraie raison de leur prĂ©sence, elle est lĂ . Grande routiĂšre Pour la structure de la DB11, Aston Martin a utilisĂ© lâaluminium, matĂ©riau dĂ©sormais incontournable pour tout vĂ©hicule voulant offrir des prestations routiĂšres supĂ©rieures, en raison de sa lĂ©gĂšretĂ© et de sa rigiditĂ©. BardĂ©e de toutes les commoditĂ©s et accessoires de luxe, elle pĂšse nĂ©anmoins 45 kilos de plus que la DB9. Difficile dây Ă©chapper en bonne GT, la DB11 doit aussi ĂȘtre une routiĂšre confortable. Et elle lâest aprĂšs plus de trois heures derriĂšre le volant, Ă un rythme soutenu, on en dĂ©barque frais comme une rose. En mode GT, la DB11 se transforme en voiture de luxe et ses superbes siĂšges contribuent Ă amener lâexpĂ©rience de conduite Ă un trĂšs haut niveau. Ces baquets, il faut le dire, sont tout simplement parfaits ils enveloppent le corps sans lâemprisonner et leur rembourrage a, de toute Ă©vidence, Ă©tĂ© savamment Ă©tudiĂ©. En plus, ils sont beaux ils pourraient trĂšs bien se retrouver dans la vitrine dâun designer de meubles haut de gamme. Si on opte pour une conduite plus sportive, la DB11 assure les modes S Sport et S+ permettent de calibrer la boĂźte de vitesses, la direction et les trains roulants en fonction des exigences du conducteur. Le train avant est dâune prĂ©cision irrĂ©prochable, tout comme la direction Ă assistance Ă©lectrique et les assistances Ă©lectroniques se chargent de gĂ©rer les rebuffades du train arriĂšre. Encore une fois, tout se fait Ă la perfection les systĂšmes dâaide au pilotage ne sont jamais intrusifs et font preuve dâune efficacitĂ© absolue. Et puis, soyons francs, elles sauvent sans doute bien des vies les propriĂ©taires de voitures de prestige ne sont pas tous des Senna⊠En rĂ©sumĂ©, la DB11 est une GT rapide, prĂ©cise, confortable et facile Ă conduire, qui dissimule son poids avec beaucoup de doigtĂ©. Conclusion Depuis sa crĂ©ation, en 1913, Aston Martin a connu des hauts et des bas. Sa mort a Ă©tĂ© annoncĂ©e plus dâune fois mais elle a toujours survĂ©cu, sauvĂ©e par des hommes dâaffaires, voire des mĂ©cĂšnes, ou de grands constructeurs. Depuis 2007, elle est la propriĂ©tĂ© dâun consortium menĂ© par Prodrive, la firme britannique de David Richards qui a connu ses heures de gloire en prĂ©parant les Subaru du Championnat du monde des rallyes dans les annĂ©es 90. Des fonds dâinvestissements italien et koweitien dĂ©tiennent la majoritĂ© des capitaux. La part de Daimler AG sâĂ©lĂšve Ă 5% mais elle inclut un partenariat technique entre les deux marques et les rumeurs veulent que la participation au capital pourrait aller en augmentant. Lâavenir sâannonce donc prometteur pour la lĂ©gendaire marque britannique le renouvellement de la gamme sera complĂ©tĂ© avec lâarrivĂ©e des nouvelles Vantage et Vanquish en 2018, auxquelles sâajoutera, lâannĂ©e suivante, un VUS. Quâon le veuille ou non, câest rentable et toutes les marques de prestige en comptent dĂ©sormais, Ă lâexception notable de Ferrari. Ces bonnes nouvelles ne doivent pas occulter les pertes financiĂšres, considĂ©rables, des derniĂšres annĂ©es mais Aston Martin mise sur ses nouveaux modĂšles et une gamme Ă©largie pour retrouver le chemin de la rentabilitĂ©. Câest lâobjectif dâAndy Palmer, grand patron de la marque depuis lâannĂ©e derniĂšre. PremiĂšre Ă©tape de ce renouveau, la DB11 envoie le bon signal. Ă dĂ©faut dâĂȘtre rĂ©volutionnaire, elle incarne la quintessence de ce que doit ĂȘtre une Aston Martin belle, rapide, confortable et exclusive. Avec un V12, en plus. Dieu merci, ces anachronismes existent encore. Fiche technique Aston Martin DB11 Moteur V12 CylindrĂ©e 5,2 L Puissance 600 ch Couple 516 lb-pi Ă partir de 1 500 tr/min 0-100 km/h 3,9 s Vitesse maximale 322 km/h Prix de base 254 195 $ Prix du vĂ©hicule dâessai environ 330 000 $
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