Àl'instar des jeux PokĂ©mon Diamant et Perle, les jeux PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante se dĂ©roule dans la rĂ©gion de Sinnoh, basĂ©e sur la rĂ©gion japonaise d'Hokkaidƍ [1].Insulaire, elle est constituĂ©e de quatorze villes peuplĂ©es par des humains et de routes terrestres et maritimes qui les relient entre elles.

Qu'elle attaque en 4 pour Heatran ? 10 votes Bonsoir, Je souhaiterais avoir votre avis pour mon Heatran strat que j'ai monter sur ce nouveau est 6IV Merci la capsule d'or et Naif. Ev 252 Atk SpĂ© / 252 Speed / 6 AtkMais c'est pour les attaque que ca bloque, actuellement il a - Telluriforce - DĂ©flagration - Draco-forceLe souci c'est la 4eme attaque, CT Explosion et CT Puis. CachĂ©e n'Ă©tant pas dispo je bloque un peut. Je me dit que Vibrobscur ou Luminocanon peuvent faire le taff, ou sinon Clonage et dans ce cas jouer l'objet Reste sur lui.Qu'elle est votre avis ?! C'est pour du solo, duo ? Tu comptes l'entourer avec qui ? Ils auront quel set ? C'est ca qui compte savoir les faiblesses et forces de ton trio/quatuor pour avoir une bonne synergie entre eux. Donc pour moi ca manque d'info pour essayer de te conseiller Dans les Pokemon que j'ai prĂ©parer ou compte prĂ©parer il y aura Carchacroc Rigide avec Reste EV ATK / Speed Dance lame / Seisme / Draco-griffe / Lame rocTyranocif Rigide avec Bandeau Choix EV Atk / PV MĂąchoulle / Lame roc / Seisme / Ă  definirMĂ©talosse Rigide EV Atk / PV PiĂ©ge roc / Seisme / Poing MĂ©tĂ©ore / Psykoud'boulScorvol Jovial avec Reste EV PV / Speed Seisme / Provoc / Demi-tour / AtterrissageMotisma-Laveuse Timide EV Atk SpĂ© / Speed Ball'ombre / Tonnerre / Hydrocanon / Ă  dĂ©finir Salut Je voit partout sur les pokĂ©mon strat on parle de rĂ©partition 252/252/4 et toi tu dit "Il est 6IV Merci la capsule d'or et Naif. Ev 252 Atk SpĂ© / 252 Speed / 6 Atk"?? Si ma mĂ©moire est bonne la rĂ©partition total d’EV possible est de 510 ! Scorvol Jovial avec Reste EV PV / Speed Seisme / Provoc / Demi-tour / AtterrissageLa repart est pas oufPLUTOT orbe toxique + vaccin non?Motisma-Laveuse Timide EV Atk SpĂ© / Speed Ball'ombre / Tonnerre / Hydrocanon / Ă  dĂ©finirnon, feu follet, changeclair, hydrocanon et balance ev hp et speCarchacroc Rigide avec Reste EV ATK / Speed Dance lame / Seisme / Draco-griffe / Lame rocLife orbe plutot Heatran calme torche restes 252 pv / 232 def spe / 24 Spe- Ebulilave - Telluriforce - Feu follet plus acces Ă  toxic - Provoc Merci pour tes conseil Azra06 ! Je regarde tout ça aprĂšs le travail. Le Motisma n’est pas encore monter donc je vais pouvoir le modifier sans souci. Pour le Heatran il est dĂ©jĂ  fait donc ça va ĂȘtre un peut plus chiant !!! Pour le carchacroc j’hĂ©sitais justement a le jouer en orbe de fait des annĂ©es que j’ai pas monter des PokĂ©mon strat donc la reprise et difficile puis y’a eu pas mal de changement vis Ă  vis de l’ancienne version diamant et perle. Par contre je me demande si sur cette version est est possible d’obtenir Balance » sur Motisma ! Bien vu non pas possible / Je te conseil vraiment de jouer Carchacrok jovial plutĂŽt que rigide, ne serait-ce que pour pouvoir tie les autres Carcha et dĂ©passer certains Pokemon comme Manaphy. Oui c’est ce que je pensais Azra06!!! C’est pour ça que j’hĂ©site pas mal sur le build de mon Motisma đŸ€Ł Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

ThePokĂ©mon Company annonce la distribution dĂšs aujourd'hui de l'objet "Lettre Chen" dans les jeux PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante sur Nintendo Switch. Disponible jusqu'au 27 mars 2022 Ă  14h59, cette lettre est Ă  rĂ©cupĂ©rer dans "Cadeau MystĂšre" et se rendre ensuite dans l'option "Via Internet". Duo de remakes de jeux sortis sur Nintendo DS, PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante sont un peu trop scolaires pour devenir des indispensables. À moins d’ĂȘtre un fan hardcore
 Au mois de fĂ©vrier dernier, PokĂ©mon Company a officialisĂ© pas moins de trois nouveaux Ă©pisodes Ă  l’occasion des 25 ans de la cĂ©lĂšbre saga centrĂ©e sur la capture de bestioles. De quoi ravir les fans, qui pourront garnir leur collection avec PokĂ©mon Diamant Étincelant un remake, PokĂ©mon Perle Scintillante un autre remake et, surtout, LĂ©gendes PokĂ©mon Arceus — l’épisode inĂ©dit qui s’annonce trĂšs ambitieux. Pour cette fin d’annĂ©e, PokĂ©mon Company propose donc une remise au goĂ»t du jour de la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration, parue Ă  l’époque sur la Nintendo DS. Aujourd’hui, c’est sur Nintendo Switch que PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante peuvent s’épanouir — avec cette ambition de prĂ©server l’expĂ©rience originale. Et il faut vraiment ĂȘtre trĂšs amoureux des PokĂ©mon — et/ou trĂšs nostalgiques — pour se rĂ©jouir devant ces remakes qui n’offrent finalement pas grand-chose de plus. On attend beaucoup plus de LĂ©gendes PokĂ©mon Arceus, qui devrait bouleverser les codes d’une licence qui s’est trop longtemps contentĂ©e de faire du surplace. PokĂ©mon Diamant Étincelant & Perle ScintillanteSource PokĂ©mon Company PokĂ©mon, c’est toujours la mĂȘme rengaine Je ne suis pas particuliĂšrement fan de PokĂ©mon. J’ai dĂ©vorĂ© les versions Rouge et Bleu et Jaune quand j’étais au collĂšgue — puisque c’était le phĂ©nomĂšne du moment. J’ai depuis lĂąchĂ© l’affaire, constatant que les nouveaux Ă©pisodes se suivent et se ressemblent Ă  quelques nouveautĂ©s prĂšs. Aussi n’ai-je pas Ă©tĂ© trĂšs Ă©tonnĂ© de voir que PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante s’appuie sur exactement les mĂȘmes bases sur l’üle de Sinnoh, un jeune garçon ou une jeune fille doit devenir le meilleur dresseur aprĂšs un Ă©vĂ©nement malencontreux. S’en suit une quĂȘte qui lui fera affronter des maĂźtres pour rĂ©cupĂ©rer des badges, tout en se dĂ©barrassant de mĂ©chants toujours aussi ridicules la team Galaxie. Sans oublier les mystĂšres qui entourent les crĂ©atures lĂ©gendaires
 Bref, c’est du PokĂ©mon de A Ă  Z. C’est trĂšs colorĂ© et trĂšs inoffensif. MalgrĂ© tout, il faut reconnaĂźtre que cette recette connue fonctionne toujours. Le cĂŽtĂ© addictif perdure, annĂ©e aprĂšs annĂ©e, et donne envie d’explorer Sinnoh dans l’unique but de remplir son PokĂ©dex 150 PokĂ©mon, ce qui peut paraĂźtre peu dans les standards actuels. D’autant qu’on retrouve ces bouilles auxquelles on a tant envie de s’attacher. À ce sujet, les dĂ©veloppeurs ont soignĂ© la mise en scĂšne lors des combats, avec des plans trĂšs dynamiques qui soulignent vraiment la puissance qui se dĂ©gage des PokĂ©mon toujours affublĂ©s Ă  des types, avec forces et faiblesses. Graphiquement, on ne sait pas trop ce que le studio en charge du remake a voulu faire. Il a optĂ© pour un enrobage volontairement mignon, qui rappelle finalement beaucoup la direction artistique d’antan limitĂ©e par la faible puissance de la DS mais trĂšs charmante, presque insouciante. Pendant les phases de jeu, les bonhommes arborent un design Chibi assez quelconque petit corps et grosse tĂȘte. Pendant les cinĂ©matiques comme par exemple avant un affrontement, les mĂȘmes personnages affichent une silhouette beaucoup plus rĂ©aliste. Cet entre-deux est trĂšs bizarre et donne un sentiment mitigĂ© quand on regarde l’écran de sa Switch ou son tĂ©lĂ©viseur. Dans tous les cas, PokĂ©mon oblige, c’est trĂšs colorĂ© et trĂšs inoffensif. PokĂ©mon Diamant Étincelant & Perle ScintillanteSource PokĂ©mon Company La fameuse PokĂ©montre N’attendez pas un dĂ©fi immense des premiĂšres heures de jeu offertes par PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante. Les deux titres offrent d’ailleurs plusieurs moyens de se faciliter la vie, comme par exemple le partage de points d’expĂ©rience au sein de toute son Ă©quipe Ă  l’issue des confrontations pour permettre aux PokĂ©mon moins utilisĂ©s d’évoluer malgrĂ© tout, ou encore une indication sur les attaques les plus efficaces. On note en outre l’accĂšs facilitĂ© aux compĂ©tences spĂ©ciales, qui se dĂ©bloquent au fur et Ă  mesure et permettent de dĂ©gager certains passages au prĂ©alable bloquĂ©s des rochers. Il faudra simplement accepter cette poussiĂ©reuse mĂ©canique consistant Ă  dissimuler des combats alĂ©atoires les PokĂ©mon sauvages n’apparaissent pas Ă  l’écran. Faire trois pas, se faire attaquer, refaire trois pas, se refaire attaquer
 Et ainsi de suite jusqu’à transformer l’effet de surprise en agacement. Quand ils sont sortis sur Nintendo DS, PokĂ©mon Diamant et PokĂ©mon Perle introduisaient une nouveautĂ© tirant partie du double Ă©cran de la console la PokĂ©montre. On retrouve cet accessoire dans PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante. Il permet toujours de consulter l’heure utile pour le cycle jour/nuit, de profiter d’un radar, de consulter les sentiments de ses PokĂ©mon, entre autres fonctionnalitĂ©s. Sauf que les dĂ©veloppeurs ont oubliĂ© une chose la Nintendo Switch n’a accĂšs qu’à une seule surface d’affichage, ce qui rend la PokĂ©montre beaucoup moins plaisante Ă  l’usage elle vient mordre une partie de l’écran. Il aurait Ă©tĂ© nĂ©cessaire de repenser l’objet pour conserver un aspect pratique. PokĂ©mon Diamant Étincelant & Perle ScintillanteSource PokĂ©mon Company ILCA a prĂ©fĂ©rĂ© concentrer ses efforts sur une refonte des souterrains, qui proposent, ici, encore plus de moyens de prolonger le plaisir et de s’amuser. Ils deviennent ainsi des Grands Souterrains, avec des zones inĂ©dites qui permettent de croiser toujours plus d’espĂšces certaines ne se trouvent que lĂ  ou de dĂ©terrer des fossiles. Vous pourrez mĂȘme y Ă©tablir une base, Ă  dĂ©corer Ă  l’aide de statues. Le verdict PokĂ©mon Diamant Étincelant & Perle Scintillante On a aimĂ© Capturer des PokĂ©mon, c'est toujours trĂšs addictif ExpĂ©rience confortable et accessible Quelques activitĂ©s annexes On a moins aimĂ© Refonte graphique Ă©trange La PokĂ©montre moins pertinente sans double Ă©cran Les dĂ©veloppeurs ne se sont pas foulĂ©s PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante semble un peu trop conçu dans le seul but de nous faire patienter jusqu'Ă  LĂ©gendes PokĂ©mon Arceus. Ce dernier s'annonce comme une rĂ©elle Ă©volution pour une franchise qui se repose un peu sur ses acquis - ce que soulignent ces deux remakes. L'approche du studio ILCA est un peu trop scolaire. RĂ©sultat, PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante laissent un goĂ»t de dĂ©jĂ -vu et de dĂ©jĂ -jouĂ©. L'agrĂ©ment de la nostalgie ne peut pas toujours fonctionner et justifier l'existence de ces remakes trĂšs paresseux. Suivezle guide ! Vous devez possĂ©der une sauvegarde de PokĂ©mon Let’s GO Pikachu ou Évoli sur votre console pour obtenir Mew. Pour obtenir Jirachi, vous devez possĂ©der une sauvegarde de PokĂ©mon ÉpĂ©e ou Bouclier sur votre console. Avancez dans Diamant Étincelant ou PokĂ©mon Perle Scintillante jusqu’à la ville de Floraville. Comment dire ? Vraiment déçu de la tournure prise par le jeu. Commençons par dire que le jeu n'est pas fonciĂšrement mauvais, c'est un jeu avec du potentiel, mais trop peu souvent pleinement exploitĂ©. Je dirais qu'il est incomplet sur beaucoup trop de points pour mĂ©riter mieux qu'un 11/20 de mon point de ne suis pas fan des graphismes. Ils ne sont pas moches, mais le style Chibi, c'est pas mon truc. C'est sans doute subjectif. Reprendre un jeu en 2D, c'est un choix facile, mais qui ne m'aurait pas dĂ©rangĂ© outre mesure si la densitĂ© du contenu le compensait. Ici ce n'est pas le cas le post-game bien qu'assez fourni Grands souterrains, parc avec lĂ©gendaires, Tour de combat, Super-show, rematch des champions... est trĂšs frustrant * J'aurais aimĂ© rĂ©-installer les piĂšges des bases comme dans les jeux originaux * J'aurais aimĂ© des mini-quĂȘtes, mĂȘme simples Ă  l'instar des Ă©vĂ©nements d'antan, ajouter du lore plutĂŽt que de distribuer clef en main des fabuleux * J'aurais aussi adorĂ© retrouver la Zone de Combat, prĂ©sente dans Platine, c'est une grande dĂ©ception de ne pas la retrouver. Ca allonge considĂ©rablement la durĂ©e de vie du jeu pour ceux qui aiment un peu de challenge * Les super-shows sont avant tout des jeux de rythme, j'aurais aimĂ© une composante stratĂ©gique plus poussĂ©, voire onlineDommage car on voit qu'un effort est fait pour proposer plus de choses que dans les versions originales, mais ne reprend pas les bonnes idĂ©es de n'y avait que ça, j'aurais mis 13 ou 14 au jeu. Malheureusement, ce jeu est beaucoup trop facile. Je n'attends pas de pokemon, du moins jusque la ligue qu'il m'offre des sueurs par sa difficultĂ©. Mais lĂ , on atteint le summum de la facilitĂ© entre le MultiExp obligatoire - non dĂ©sactivable ! -, l'exp supplĂ©mentaire de base + l'exp bonus pour le pokemon qui nous suit, on arrive vite Ă  10 niveaux de plus que n'importe quel PNJ du jeu au cours de l'aventure. C'est absurde de devoir sans cesse faire des allers-retours pour ne disposer que d'un ou deux pokemons dans son Ă©quipe pour ne pas rouler sur le pourquoi ne pas proposer de moduler tous ces Ă©lĂ©ments ? C'est absurde pour un jeu de 2021. Laissez le choix aux joueurs sur un minimum d'Ă©lĂ©ments qui modulent la difficultĂ© comme sur n'importe quel RPG. C'est dommage car le rematch des champions montre que la difficultĂ© peut exister un minimum, de façon assez simple ce qui rend l'absence d'une zone de combat d'autant plus frustrante.Pour rĂ©sumer Points Forts - Assez joli... - Nostalgie retrouvĂ©e... - Excellente OST, certaines sont bien remixĂ©es - Contenu aprĂšs la ligue assez consĂ©quent, mention au travail sur l'IA et les movesets des pokemons des divers PNJ post-ligue...Points NĂ©gatifs -... mais le style Chibi ne plaira pas Ă  tous, moi compris -... mais on aurait aimĂ© plus de features de Platine - Le jeu est beaucoup trop facile, au moins avant la ligue, et ne permet aucune modularitĂ© de la difficultĂ© mĂȘme artificielle/mineure -... mais le contenu post-ligue est frustrant car pas assez travaillĂ©. En gros il y a le nombre, mais la qualitĂ© du post-game est ce 11/20. Lire la suite... Ennovembre, de nouveaux jeux PokĂ©mon sortiront sur Nintendo Switch : il s’agit des versions Diamant Ă©tincelant et Perle scintillante, remakes -35% Le deal Ă  ne pas rater KRUPS Essential – Machine Ă  cafĂ© automatique avec broyeur Ă  ... 299 € 459 € Voir le deal Forgotten Heaven PrĂ©sentations Garçons AuteurMessageEdward DawsonHabitant de l'ĂźleNombre de messages 6Age 30Date d'inscription 24/02/2009Fiche du personnageVie privĂ©e Relations Avertissements 0/0Sujet Edward Dawson [A Terminer ] Mer 25 FĂ©v - 1050 Nom Mon nom ne vous dit rien ? Heureusement pour vous. D'ailleurs, je ne vois pas oĂč vous auriez pu l'apprendre. Cependant, je prĂ©fĂšre garder l'anonymat. Venant d'une famille connue, dans le mauvais sens, je m'en dĂ©tache autant que je peux. J'ai donc changĂ© mon nom qu'Ă©tait Mogami en mon nom actuel qui est Dawsoni. Je me prĂ©sente sous ce nom, ne voulant attirer quelconque attention sur moi, bien que mon physique puisse me trahir, ce qui n'arrive que trĂšs L'un des seuls souvenirs de ma famille, le prĂ©nom que j'ai gardĂ©, Ă  mon grand regret. Je me prĂ©nomme Edward, dont j'ai souvent attirĂ© les moqueries plus jeunes. Mes "compagnons de classe" trouvant que cela faisait petit garçon et associant mon prĂ©nom Ă  une prĂȘtresse d'un temple, tout prĂšs de notre village. Evidemment, les insultes ainsi que multiples surnoms plus imbĂ©ciles les uns que les autres allaient avec, mais Ă  vrai dire, je ne m'en suis jamais vraiment souciĂ©, Ă©tant le cadet de mes Un surnom, un seul dont je me souviens et qui ne me paraisse pas vraiment imbĂ©cile, car j'en ai beaucoup. On appelle souvent Ed', beaucoup plus court que mon nom en entier, mĂȘme si je prĂ©fĂšre ce dernier. Sinon, je ne pense pas en avoir d'autres, du moins je ne me souviens point non plus et je n’y tiens pas forcĂ©ment non Ah, la belle vie oĂč l’on Ă©tait jeunes et insolents, attendant avec impatience chaque anniversaire suivant pour obtenir ses cadeaux, les ouvrant avec vĂ©hĂ©mence pour voir ce qui se cachait sous l’horrible papier cadeau d’une couleur effroyablement vive la plupart du temps. Mais dĂ©sormais, les cadeaux et les rires qui rĂ©sonnaient ne sont plus et seul mes pas retentissent, seuls. Je me souvins vaguement avoir eu 17 ans cette annĂ©e, le 14 Janvier, si mes commĂ©morations sont encore un minimum Un Ă©lĂ©ment, tiens donc. J’ai toujours aimĂ© les Ă©lĂ©ments, je n'en sais pas davantage. Petit, j'aurais aimĂ© tous les contrĂŽler, pouvoir faire ce que je veux, quand j'en avais besoin et ne m'occuper de rien d'autre. A la maniĂšre du feu, je suis turbulent, mes colĂšres phĂ©nomĂ©nales. N'essayez pas de m'attraper, vous risqueriez de vous brĂ»ler les doigts...Sexe Et bien, je pense qu'on le devine aisĂ©ment quand l'on me voit, car je ne pense ressembler Ă  une jeune femme. Non, je suis un homme, avec tous les attributs naturels et cela me convient parfaitement. Les filles sont trop superficielles Ă  mon goĂ»t et un peu niaises, du moins ce que je peux en dire de celles que je cĂŽtoyaient sexuelle Quelle question indiscrĂšte, vraiment ! Si j’étais dans une autre circonstance, cela m’aurait peut-ĂȘtre fait rire, peut-ĂȘtre si j’avais le pouvoir de retourner dans le passé Enfin, bande de petits indiscrets que vous ĂȘtes, puisque vous dĂ©sirez le savoir, je consens Ă  vous le dire. Je suis bisexuel. Je me fiche totalement de ce que peuvent penser les personnes Ă  l’entente de ce mot, qu’importe votre rĂ©action, je m’en moque bien. De plus, je n’ai ni l’intention de le cacher, ni l’intention de mentir, inutile de toute façon, puisque personne ne s’occupe de moi, et encore de ma vie sentimentale avec quelque personne que ce Mon physique ? Il faut bien avouer que je ne suis pas du genre Ă  me regarder dans la glace tous les jours, et cela ne me manque pas d’ailleurs. Je ne juge pas ĂȘtre quelqu’un de magnifique Ă  regarder, nĂ©anmoins je ne pense pas non plus ĂȘtre quelqu’un dont la vue vous dĂ©goĂ»terais. D’allure gĂ©nĂ©rale, Ă  proprement parler, je suis assez grand, 1m80 enfin par lĂ  si je me souviens bien pour un poids peut-ĂȘtre un peu infĂ©rieur Ă  75 kilos. Je n’aime pas vraiment manger, je trouve ça un peu inutile de toute façon et puis voir certaines personnes avaler des fourchettes et autres quantitĂ©s de nourriture abominables a le don de me dĂ©gouter; c’est donc pour cela que je ne suis pas quelqu’un de trĂšs gros, mĂȘme si je compense beaucoup, il faut bien l’avouer, par des sucreries ou autre cochonneries en tout genre. De plus, je suis assez svelte malgrĂ© le fait que je sois assez musclĂ©, je dois donc peser dans 70-65 kilos, pas beaucoup plus, arrivant Ă  passer dans des endroits assez Ă©triquĂ©s et Ă  monter sur les arbres, sans qu'ils craquent sous mon poids. Mes bras, tout Ă  fait normaux, ne sont, quant Ă  eux, nullement musclĂ©s, trouvant moche les gros "biscotos" qu’affichent les hommes musclĂ©s. Ces derniers se terminent par mes mains blanchĂątres, eux-mĂȘmes se finissant en longs et fins doigts oĂč apparaissent mes ongles, rongĂ©s dĂšs que le stress vient me hanter. Lorsque j'Ă©tais petit, je me laisse aussi les ongles poussĂ©s, comme une fille en quelque sorte, attirant toutes sortes de railleries, encore une fois. Bref, ne nous attardons pas sur ce genre de dĂ©tails. Le reste de mon corps n'est pour moi, cependant, une partie non importante. A quoi servirait-ce de vous dĂ©crire des choses aussi insignifiantes tel que mes jambes ou encore mes pieds ? Je m'y arrĂȘtais tout de mĂȘme quelques secondes, histoire de parler. Mes longues jambes sont assez pratiques pour atteindre les endroits hauts, Ă©tant donnĂ© que j'apprĂ©cie tout particuliĂšrement de monter dans les arbres haut perchĂ©s, mĂȘme si cela peut paraĂźtre Ă©trange pour certains. J'ai une assez bonne souplesse et cela m'est bien pratique, parfois. Bref, mon corps se termine par mes pieds, un peu trop grands Ă  mes goĂ»ts, et ce qui est un peu Ă©nervant, mais au moins, grĂące Ă  cela, je peux gagner en vitesse. Rentrons dans les dĂ©tails les plus insignifiants si vous le souhaitez, concernant mon physique assez banal. Mes cheveux sont de la couleur des blĂ©s, autrement dit blonds, quelque fois chĂątains clairs, ils ont la fĂącheuse tendance de s’éclaircir dĂšs qu’un rayon de soleil pointe le bout de son nez sur ma criniĂšre dorĂ©e. Toutefois, chose assez Ă©trange et que je n’explique pas, ma chevelure n’est pas blonde dans certains endroits, comme par exemple les mĂšches qui frĂŽlent dĂ©licatement ma nuque. Souvent dĂ©broussaillĂ©s, je ne passe qu’un lĂ©ger coup de brosse le matin, le strict nĂ©cessaire, tout brushing superflu pour moi. Autre dĂ©tail, mes cheveux n’ondulent pas sous la pluie ou dans ce genre de circonstances, bien pratique, bien entendu, et d’ailleurs pour cette raison que je ne prends presque jamais de parapluie avec moi, qu’il pleuve ou qu’il vente. Ils tombent doucement jusqu’à mes Ă©paules fines, cachant au passage mes oreilles oĂč quelques piercings apparaissent. J’en ai prĂ©cisĂ©ment deux dans chacune, rĂ©vĂ©lant mon cĂŽtĂ© rebelle, ils sont chacun situĂ©s Ă  la totale opposĂ© un en haut et un autre en bas. Ce n’est pas trĂšs remarquable, en raison de mes cheveux donc et car ils sont de plus, assez petits, trouvant inutile et moche les Ă©normes anneaux. Quelque uns de mes cheveux tombent doucement sur mon front ainsi que mes sourcils de la mĂȘme couleur que ma chevelure, quoi qu’un peu plus foncĂ© si l’on veut ĂȘtre infiniment exact dans ma description. Juste au-dessous se trouvent mes yeux, seule chose dont je suis fier chez moi, d’une couleur qui vous transperce vos pensĂ©es, tantĂŽt glaciale Ă  vous faire frissonner, tantĂŽt douce comme un regard amoureux. Ils Ă  la frontiĂšre entre le bleu et le vert, mĂȘme s’ils sont plus cette derniĂšre couleur. Je crois que l’on l’appelle Ă©meraude, comme le diamant qui scintille de mille feux sous le soleil luisant et rĂ©chauffant. Ils sont comme ceux de ma mĂšre, trahissant la bontĂ© et nos sentiments les plus enfouis, traquant avidement le moindre geste. Mes yeux aiment se perdre dans le vide du ciel oĂč jaime laisser vagabonder mes pensĂ©es au grĂ© du vent qui souffle doucement, dĂ©laissant mes aphorismes, les oubliant au plus loin derriĂšre moi . Je ne porte pas de lunettes, et encore moins de lentilles, n’en ayant nullement besoin, puisque ma vue est tout ce qu’il y a de plus correct. Cela frappe assez sur mon visage Ă©trangement pĂąle que je ne m’efforce de faire bronzer, sans grand succĂšs apparent, Ă  croire que je suis toujours souffrant, alors qu’en rĂ©alitĂ© je ne le suis que rarement. J’aime sourire, et j’en esquisse un souvent qu’il ironique ou bien charmeur. J’ai un tic qui est de me mordre la lĂšvre infĂ©rieure avec mes dents lorsque le stress me gagne, expliquant quelques petits saignements sur cette derniĂšre. Ma bouche est assez grande et fine, contenant une rangĂ©e de dents blanches et parfaitement alignĂ©es. Je possĂšde des canines aiguisĂ©es, un peu Ă  la maniĂšre des vampires tel que l’on imagine. Ma voix est douce, parfois provocante lorsque je le souhaite, elle est n’est pas grave, disons normal pour mon Ăąge. VoilĂ , mon visage est tout ce qu’il y a de plus banal pour un adolescent, l’on ne me remarque pas forcĂ©ment au premier coup d’Ɠil. Les gens ont cependant tendance Ă  me vieillir, malgrĂ© que mon visage ait gardĂ© quelque chose d’enfantin en moi, bien malgrĂ© vestimentaire Mon style vestimentaire ? En deux mots, je n'en ai pas vraiment, pour tout avouer. Je ne suis pas un mouton, m'attachant Ă  m'habiller tout de noir tel un gothique ou bien avec uniquement des survĂȘtements. MĂȘme s'il est vrai que ma garde-robe est assez peu variĂ©e en vĂȘtements, et qu'ils se ressemblent presque tous. Je ne suis pas du genre Ă  chercher une heure dans mes affaires pour voir ce qui va avec quoi ou si ceci ou cela n'est plus Ă  la mode. Non, au contraire, la plupart du temps, je prĂ©fĂšre prendre les premiĂšres choses qui me viennent sous la main et les enfiler rapidement. Comme je l'ai dit il n'y a pas si longtemps, je ne cherche aucun style particulier, mais ne cherchant pourtant pas Ă  me faire particuliĂšrement remarquer inutilement. Je n'aime pas faire comme les autres en restant avec toujours les mĂȘmes habits, ou toujours dans le mĂȘme genre, ce qui explique que ma garde-robe soit un peu fouillis, trouvant toutes sortes de pulls, T-shirts, jeans. Cependant, s'il y a bien quelque chose que je dĂ©teste, c'est la mode. DĂ©sormais le style vestimentaire des garçons est plus situĂ© fans les roses, blancs, bref des couleurs claires, beaucoup trop fĂ©minines Ă  mon goĂ»t, bien que je possĂšde aussi quelques habits blancs, Ă©tant l'une de mes couleurs favorites. Je prĂ©fĂšre, bien au contraire, aller fouiller dans des looks bien loin de la mode, qui datent de quelques annĂ©es. Je porte principalement un t-shirt de couleur blanchĂątre, quelque peu dĂ©lavĂ© par le temps que l'on aperçoit vaguement sous ma chemise de couleurs mitigĂ©es mais que je jugerais marron ou bien noir, je n'y attache pas d'importance. Il m'arrive de nouer une cravate rouge autour de mon cou, mais que je ne serre jamais. J'ai l'habitude d eporter un jean ou un pantalon foncĂ©, je dĂ©teste le shorts ainsi que les pantacourts que je trouvent informes. Je porte des vĂȘtements assez Ă©vasifs, pour pratiquer du sport ou pour tout simplement me sentir Ă  l'aise, trouvant les vĂȘtements trop...SerrĂ©s, quoi ! J'aime me sentir bien Ă  l'intĂ©rieur, et je me fiche de l'avis ou du regard dĂ©sobligeant des personnes qui m' Des qualitĂ©s ? Je ne pense pas en possĂ©der beaucoup, je ne pense pas ĂȘtre quelqu'un de dĂ©sagrĂ©able, mais j'avoue ĂȘtre parfois froid avec els gens, je n'arrive pas m'attacher Ă  certaines personnes. Je donc quelqu'un de solitaire et je n'ai jamais recherchĂ© l'affection et encore moins l'attention des autres. Je crois tout de mĂȘme que, quand je le dĂ©sire uniquement, je epux ĂȘtre quelqu'un de sympathique et Ă©goĂŻste est le seul mot qui ne conviendrais pas chez moi. TrĂšs loyal, je trouve que la famille est quelque chose d'important et lorsque je fais une promesse, je fais tout pour parvenir Ă  la tenir, c'est pour moi une question d'honneur et de respect. Je sais garder un secret et je sais ĂȘtre une vraie tombe lorsqu'il le faut. Je suis une personne trĂšs dĂ©vouĂ©e et attentive, j'aime aider les autres et je prĂ©fĂšre les faire passer avant moi, c'est pour moi une obligation et je ne peux m'empĂȘcher de m'inquiĂ©ter pour tout le monde. J'aime rĂ©gler les conflits ainsi espĂ©rer que tout aille mieux, mĂȘme si cela peut avoir des consĂ©quences nĂ©gatives pour moi. Il est vrai que je me mĂȘle parfois un peu de ce qui ne me regarde pas, mais c'est une obsession dont je ne peux me passer. Je crois aussi ĂȘtre assez sportif puisque je pratique et j'ai pratiquĂ© pas mal de sports dont l'escrime, le karatĂ©, la musculation et un peu de judo si je me souviens bien. VoilĂ  en gros mes qualitĂ©s, je ne sais si j'en possĂšde plus ou bien moins, je ne pense pas pouvoir en juger objectivement .DĂ©fauts Le premier dĂ©faut que je citerais sans hĂ©siter est le fait que je suis quelqu'un d'extrĂȘmement impatient, je ne supporte pas l'attente. Il est vrai que je veux toujours tout de suite, et que je m'Ă©nerve assez facilement. Cependant, je supporte bien les critiques sur moi mais aucunement sur mes amies ou sur des personnes que j'apprĂ©cie engendrant ma colĂšre d'une ascension fulgurante. Certes rebelle, j'aime me battre et je n'aime pas vraiment l'autoritĂ© ou la soi-disant supĂ©rioritĂ© des autres par rapport Ă  moi. Taquineur, est-ce un dĂ©faut ou une qualitĂ© ? Je ne sais point mĂȘme si je pense que cela est plutĂŽt nĂ©gatif que positif. Oui, j'aime taquiner, toujours gentiment, surtout les filles qui sont drĂŽles avec leurs rĂ©pliques qu'elles croient cinglantes. Je prĂ©fĂšre cela au garçons qui dĂ©marrent au quart de tour avec leurs menaces et par leurs poings. J'aime trĂšs peu de choses en comparaison Ă  ce que je n'aime pas, mais il y a tout de mĂȘme une longue liste des choses que j'affectionneLe noir, regarder le ciel, taquiner les gens, draguer, Ă©couter de la musique, jouer de la guitare, Ă©crire, chercher des mots complexes dans le dictionnaire, lire, jouer au basket, pratiquer le sport de combat, le français, le chocolat, ne pas manger, faire des nuits blanches, sortir, me perdre dans les rues, le shopping, dessiner, les fleurs, faire la cuisine, voir des gens perdus, le rock, le visual kei, les yeux bleus ou verts Oui et alors ? Ăš_Ă©, passer des heures sur l'ordinateur, m'inventer des histoires, me prĂ©parer correctement pour rien, les vĂȘtements amples, rire, sourire, rĂ©flĂ©chir, la mer, nager dans l'eau glaciale par temps de canicule, qu'il neige, marcher, fumer, lorsque l'Ă©lectricitĂ© coupe et que l'on est obligĂ©s de se servir des bougies, regarder sans cesse l'heure, ĂȘtre en avance, arriver Ă  faire certaines choses, la sensation de vide, ĂȘtre heureux, le cinĂ©ma, observer les attitudes Ă©tranges de certaines personnes, bronzer, m'endormir alors que je suis assis, prendre une douche brĂ»lante, faire du sport, le Japon, ma mĂšre, les animaux, aider les autres, dessiner sur la table lorsque je m' pas Des tas de choses, tant que cela en Ă©tonnerait certains, Ă©videmment je ne peux tous les citer mais au moins quelque unsCaractĂšre Je le ferai plus tard car ça va me prendre sĂ»rement plus de temps ^_^DerniĂšre Ă©dition par Edward Dawson le Sam 7 Mar - 1134, Ă©ditĂ© 1 fois Edward DawsonHabitant de l'ĂźleNombre de messages 6Age 30Date d'inscription 24/02/2009Fiche du personnageVie privĂ©e Relations Avertissements 0/0Sujet Re Edward Dawson [A Terminer ] Lun 2 Mar - 1958 CaractĂšre Hum...Mon caractĂšre. Encore quelque chose Ă  laquelle je ne suis pas habituĂ©. Je n'aime pas trop parler de moi, mais bon, tout arrive bien un jour. Hum, par oĂč commencer ? J'avoue ne pas avoir un caractĂšre particuliĂšrement facile, mais cependant, chose assez contradictoire, je suis toujours assez calme et ne m'Ă©nerve pas facilement, je pense qu'il faut vraiment me chercher trĂšs loin pour que je m'Ă©nerve. Je ne dis pas ĂȘtre une personne gentille ou mĂ©chante .Comment expliquer ? Je ne suis pas quelqu'un que l'on pourrait qualifier d'affectif, pourtant je ne suis pas non plus du genre Ă  haĂŻr les gens, mĂȘme s'il est vrai que j'en ai dĂ©testĂ© au cours de ma longue vie. Je ne suis pas quelqu'un de lunatique, non, pas du tout, mais il peut m'arriver d'ĂȘtre triste, puis, presque de suite, esquisser un sourire sur mon visage. Vous voyez bien que je ne suis pas lunatique enfin ! Il m'arrive aussi, parfois, d'ĂȘtre perdu dans des pensĂ©es profondes et ne plus ressentir ce qui m'entoure, ne plus rien entendre ni voir. Peu social, je suis souvent quelqu'un de trĂšs froid, surtout lorsque je ne connais pas la personne qui me fait face. Mais mĂȘme avec mes "amies", je ne suis pas du genre Ă  parler Ă©normĂ©ment. Non que je sois timide, bien loin de lĂ , mais tout simplement que les potins de "Qui sort avec qui ?" ne m'intĂ©ressent nullement, trouvant cela tout Ă  fait dĂ©bile. J'aime taquiner les gens en particulier les filles. Je trouve amusant leurs rĂ©pliques froides, parfois simplistes, pleines de menace ou encore leur visage effrayĂ© par mon ton placide tout aussi glacial que mes yeux Ă©meraudes. J'aime aussi embĂȘter les garçons, mais, dĂ©marrant souvent au quart de tour avec des coups, cela est bien sĂ»r, beaucoup moins amusant. Je ne suis pas du tout timide et je n'hĂ©site pas Ă  aller de l'avant. PrĂ©fĂ©rant voir la vie au jour le jour, j'essaye de ne pas m'attarder sur mon passĂ© qui se veut quelque peu dĂ©sastreux. Malheureusement, quelques petits flash-back viennent Ă  moi, dans parfois des situations incongrues, m'Ă©nervant Ă©normĂ©ment. Je n'ai que trĂšs peu confiance en moi, mĂȘme s'il on peut croire le contraire en me voyant arriver les mains dans les poches, sifflotant un air doux. Plus protecteur qu'il n'y paraĂźt, je ne suis tout de mĂȘme pas un hĂ©ros, protĂ©geant les faibles et mĂ©prisant les forts. Seuls les forts survivent dans cette jungle qu'est la vie, ici, c'est la loi du plus fort. Aucune pitiĂ© pour ceux qui s'entĂȘtent Ă  croire qu'ils ne sont rien, tant pis pour eux. Hypocrite ? Moi ? Bien sĂ»r que non. J'utilise les gens Ă  bon escient pour pouvoir m'en servir au cas oĂč j'en aurais besoin un moment ou un autre. Ce n'est pas de l'hypocrisie ça, tout de mĂȘme. Mais ne croyez pas que je ne suis qu'un jeune Ă©cervelĂ© aimant la battre, fumant buvant, se droguant et coucher avec les premiĂšres qui me tombent sous la main. Non, cela n'est pas moi, et cette description n'est qu'un mensonge, purement et simplement. Au contraire, je suis assez intelligent, malgrĂ© le fait que je n'ai jamais vraiment Ă©tĂ© un Ă©lĂšve assidu en classe. J'ai mĂȘme failli sauter une classe au collĂšge, mais je m'y Ă©tais clairement opposĂ©, pensant que les autres me traiteraient de grosse tĂȘte et tel un gamin immature, ce que je n'Ă©tais pas. De plus, je me souviens que les Ă©lĂšves me demandaient souvent mes devoirs, prĂ©textant qu'ils n'avaient pas eu le temps de le faire, en m'affirmant que leur grand-mĂšre Ă©tait morte, ou ce genre de choses. Ce Ă  quoi je rĂ©pondais un "Non" glacial, mes yeux Ă©meraude semblant lancer des poignards Ă  qui osait se frotter Ă  moi. Cependant, je suis toujours prĂȘt Ă  prendre de mon temps pour expliquer clairement et simplement les choses Ă  ceux qui ne le comprenaient pas. J'avais failli ĂȘtre dĂ©lĂ©guĂ© de classe, mais le professeur, que j'avais maintes fois remis Ă  sa place, grĂące Ă  des rĂ©pliques cinglantes, m'avait Ă©vincĂ© de la course, attirant le dĂ©sarroi des Ă©lĂšves. Bref, je ne suis donc pas sans culture, et j'ai, je pense, un bon esprit de logique, qui m'est parfois bien pratique pour me sortir de situations complexes. Je n'aime pas les regards sur moi, qu'ils soient bien ou malveillants, ne supportant pas d'ĂȘtre au centre de l'attention de quelconques personnes. Je ne suis pas quelqu'un de trĂšs gĂ©nĂ©reux, ne donnant pas quelque chose si je n'ai pas quelque chose en retour, ou a donner un coup de main au premier venu. Mais je ne pense tout de mĂȘme pas ĂȘtre quelqu'un d'extrĂȘmement Ă©goĂŻste. Je suis assez attachĂ© Ă  la famille, aux traditions, trouvant cela important, normalement les gens n'ont qu'une seule famille, on doit y faire je l'ai dit, mon humeur est assez changeante. J'aime me battre et dĂ©fier les gens, ayant fait du kendo durant de longues annĂ©es et du sport de combat ainsi que de l'escrime. Je hais les gens qui jugent au simple coup d'Ɠil, croyant tout savoir de la personne qui leur fait face. Juger sans connaĂźtre est irrespectueux et vraiment dĂ©bile, comme peut-on savoir ce qui est arrivĂ© Ă  une personne dans sa vie ou ce qui se passe dans sa tĂȘte, cela est impossible. Cela est pareil pour tous les prĂ©jugĂ©s comme ceux sur les personnes soi-disant rebelles alors qu'elles sont en vĂ©ritĂ© doux comme des agneaux. Propos incohĂ©rent et jugement sans fondements sont pour moi des choses imbĂ©ciles et je prĂ©fĂšre m'Ă©loigner des personnes qui ont ce genre de propos. Je ne me fais pas des amies facilement, n'aimant pas vraiment la compagnie, et prĂ©fĂ©rant rester seul sur un banc qu'accompagnĂ© de personnes superficielles que j'oublierai forcĂ©ment un jour aprĂšs leur avoir racontĂ© que je serais toujours avec eux. Mais ne croyez pas que j'aime voir souffrir les gens, non. Lorsque je vois que je fais trop de mal, je prĂ©fĂšre m'Ă©clipser en silence et laissez la personne me retrouver pour s'expliquer calmement ou non avec moi. Peu bavard, mes rĂ©ponses sont laconiques, la plupart du temps et je prĂ©fĂšre passer du temps Ă  contempler le paysage et le ciel opalescent que de parler bĂ©atement et avec un sourire imbĂ©cile accrochĂ© au visage. d'un naturel peut-ĂȘtre simpliste pour certains, je ne suis pas quelqu'un de guilleret mais je ne suis pour autant pas dĂ©pressif vis-Ă -vis de ma vie antĂ©rieure. Marchant doucement, je suis parfois distrait, me prenant quelques poteaux lorsque mes pensĂ©es ont raison de L'alarme de l'ambulance rĂ©sonne dans les rues de la douce ville de Kyoto en ce jour de Mai si doux et si ensoleillĂ©. Nous sommes le 13, un jour qui pourrait ĂȘtre maudit pour certain, Ă©tant un Vendredi. Pourtant, quelque chose d'heureux, un bel Ă©vĂšnement va se produire aujourd'hui. Les cerisiers encore en fleurs rendant ainsi la ville encore plus agrĂ©able sous ce ciel d'une couleur opalescente en ce dĂ©but de matinĂ©e oĂč le soleil semble dĂ©jĂ  percer tout le monde de ses rayons clairs et chaleureux. Une grande voiture de couleur blanche oĂč la croix bleue semble s'enfoncer fonce Ă  toute allure vers le bĂątiment blanc, Ă  quelques minutes de lĂ , oĂč figure le mot "MaternitĂ©". A l'intĂ©rieur de la voiture, une jeune femme d'une vingtaine d'annĂ©es essaye de calmer les contractions qui lui Ă©corchent le ventre, ne sachant que faire d'autre. Son ventre la tiraille, mais ne laisse rien paraĂźtre, apercevant le regard inquiet de son mari, Ă  ses cĂŽtĂ©s. Sa main vient toucher celle de celui-ci qui l'entoure d'une poigne ferme mais pourtant extrĂȘmement chaleureuse. La voiture s'arrĂȘte enfin, doucement et l'on entend les infirmiers se ruer sur les portes du coffre pour sortir le brancard oĂč est allongĂ©e la future mĂšre qui semble de plus en plus souffrir, rendant l'homme encore plus anxieux pour elle, anxieux de ce qui va pouvoir se produire. Le mari reste seul, encore sous le choc, se demandant ce qu'il pourrait bien faire pour aider sa femme, celle qu'il aime tant depuis plusieurs annĂ©es. Inquiet, il se lance, aprĂšs quelques minutes de rĂ©flexion, Ă  la poursuite de sa femme emmenĂ©e rapidement sous ses yeux. Il traverse le hall, ne jetant qu'un coup d'Ɠil rapide Ă  ce qui l'entoure. Une piĂšce simpliste et blanche oĂč attendent quelques proches, avec des fleurs ou des cartes, une secrĂ©taire Ă  son bureau tapotant le clavier Ă  une vitesse hallucinante, l'ordinateur quelque peu vieux, faisant un bruit assez Ă©trange. Mais ses dĂ©tails lui passent par la tĂȘte, et la seule pensĂ©e qui l'obnubile est de retourner voir sa femme, dans cette situation qu'il juge douloureuse, autant pour lui que pour elle. Les couloirs se ressemblent, blancs quelques tableaux. Cherchant dĂ©sespĂ©rĂ©ment la trace de sa femme, avant que des cris proches surgissent. Entendant la dĂ©tresse de sa femme, il se rue dans la piĂšce, oĂč la femme commence Ă  accoucher, donnant naissance Ă  des cris dans la piĂšce oĂč les infirmiers s'affairent. Doucement, la tĂȘte du jeune garçon sort, les premiers cris envahissant la piĂšce dĂ©jĂ  pleine de bruits. Lors de ma naissance, je ne savais quel monde j'allais dĂ©couvrir, ce monde hostile et lugubre oĂč aucune Ă©chappatoire ne semble Ă  votre portĂ©e, uniquement ce vide qui vous entoure. Une fois sorti, je ne voyais rien, rien autour de moi de ce qui passait. Mes cris retentissaient dans la salle oĂč mes parents me regardaient avec un sourire Ă©norme affichĂ©s sur leurs visages oĂč s'entremĂȘlait rires et larmes de joie. Je sens soudain des bras m'entourer, cette chaleur qui me fait tant de bien, ma mĂšre, me serrant dans ses bras fins et blancs. Les cris sortent encore de ma bouche enfantine mais moins fort, profitant de cette chaleur si intense, si chaleureuse, si douce. Je sens que je me fais bercer, doucement, mes cris Ă©manant moins, d'un coup. Un air doux sort de la bouche de ma mĂšre, quelque chose dont je ne me rappelle presque plus aujourd'hui, mais j'entends un "Show me Love" doucereux, bien que je ne sache ce que cela peut bien signifier, et encore moins dans une langue Ă©trangĂšre, bien que je ne sache pas quelle langue je peux bien parler. Mes parents se lancent un regard complice, un sourire aux lĂšvres, me regardant. Ma mĂšre dĂ©clare doucement, d'une voix claire et calme- Il s'appellera Edward... Ainsi commence ma vie, cette chose si Ă©trange que l’on ne demande pas, mais que l'on a quand mĂȘme. Je fus accueilli avec Ă©normĂ©ment de bonheur, de joie, voyant toutes sortes de personnes chaque jour, de visages diffĂ©rents, tandis que ma mĂšre semblait si faible. Mes yeux sont dĂ©jĂ  d'un vert Ă©meraude et non bleus, comme tous les autres enfants nĂ©s jusqu'ici. Je ne sais pas qui sont ces personnes qui m'entourent, se penchant sur moi, me faisant des sourires ou me prononçant des mots indignes de sens que je ne comprends mĂȘme pas. Quelques jours plus tard, je quitte l'hĂŽpital avec mes parents, mon pĂšre me tenant dans mes bras. Je vois ma maison, du moins une petite partie, tout est encore flou autour de moi, ne sachant que faire, trop de choses Ă  voir, trop de choses Ă  entendre. Mes pensĂ©es s'entremĂȘlent, je ne sais mĂȘme pas qui je suis, me rappelant avec difficultĂ© le prĂ©nom que m'a donnĂ© ma mĂšre quelques jours auparavant. On me fait visiter chaque piĂšce, me parlant dans une langue m'Ă©tant encore Ă©trangĂšre, mais pour eux, c'est comme si je comprends dĂ©jĂ  tout autour de moi. Ils me montrent toutes choses possibles et inimaginables, toutes les piĂšces que possĂšde la grande maison beige. Attachant de l’importance Ă  chacune, un sourire effleure leurs visages fins et clairs, ils me donnent des petits commentaires Ă  chaque partie de piĂšce, dĂ©nuĂ©s de tout sens pour moi, non seulement car je ne comprends pas ce qui se dit, mais de plus car cela n’est d’aucune importance pour moi. Cependant, pour eux, je comprends dĂ©jĂ  tout, fascinĂ© par chaque piĂšce, je ne dis mot, bien que je ne sache encore parler un traitre mot. Nous finissons par atterrir dans une chambre oĂč un berceau bleu est posĂ© prĂšs de la fenĂȘtre d’oĂč Ă©mane une couleur claire et rassurante. Les rayons du soleil forment un halo chaleureux autour de mon nouveau lit de cette couleur que je ne peux dĂ©jĂ  plus voir. Ma mĂšre m’y dĂ©pose doucement, comme une poupĂ©e, avant de me faire une petite bise dĂ©licate sur la joue, avant de me border dĂ©licatement des draps blancs et bleu ciel Je ne crie pas, ne pleure pas, ne dors pas. J’attends. Quoi ? Je ne sais pas, peut-ĂȘtre rien, je n’arrive pas Ă  m’en souvenir, remontant trop dans mon passĂ© lugubre oĂč tout me semble flou, Ă  part une poignĂ©e faible de souvenirs que je souhaite jeter Ă  terre et ne plus jamais revoir. Chaque jour, mon pĂšre et ma mĂšre se relaient pour veiller sur moi, travaillant pour notre famille, ils ne tardent pas Ă  gagner moins d’argent, prenant Ă©normĂ©ment de jours de congĂ©s. Pourtant, nous vivons sereinement, nous ne nous retrouvons pas Ă  la rue, quĂ©mandant aux passants, sur la route oĂč la pluie glaciale trempent nos membres faiblards. Nous mangeons Ă  notre faim, ne nous privons pas, mĂȘme s’il est vrai que nous ne partons jamais en vacances, et mes parents semblent de plus en plus fatiguĂ©s, s’énervant l’un contre l’autre, dĂšs qu’ils font quelque chose de mal. Les cris se succĂšdent aux pleurs, chaque jour, chaque nuit, ils vont dans une piĂšce et me ferme la porte au nez. Mais dĂšs qu’ils la rouvrent, je vois leurs visages rouges et leurs yeux empreints d’une fatigue et d’une tristesse inĂ©galable. Je suis encore trop jeune, je ne comprends rien Ă  ce qui se passe, et ils ne tiennent pas Ă  m’en faire part, soi-disant que cela me ferait trop de mal, bouleversant mon esprit encore infantile et imbĂ©cile. Mais un jour, les pleurs et les cris cessent, pour laisser place Ă  nouveau Ă  leurs sourires bĂ©ats de joie. Je remarque que ma mĂšre a grossi, j’ai quatre ans Ă  l’époque. Mon pĂšre m’annonce que je vais avoir un petit frĂšre ou une petite sƓur d’une maniĂšre bĂȘte. Il croit que je suis trop bĂȘte pour comprendre de façon simple ce qui se passe. Je leur tourne le dos, prĂ©fĂ©rant retourner Ă  ma petite chambre oĂč le bleu est omniprĂ©sent, cette chambre que je dĂ©teste et oĂč je ne supporte pas cette couleur claire, simple, sobre. J’ai des envies d’arracher la tapisserie, pour voir le bĂ©ton armĂ©, rien d’autre, autre chose que ce bleu horrible qui m’entoure d’une façon oppressante. Je me lĂšve, mes parents ne sont pas lĂ , je fouille chaque recoin de la piĂšce, mais je ne trouve rien. Je flĂąne dans la maison, Ă  la recherche d’une moindre trace d’eux, espĂ©rant les trouver au coin du couloir, et qu’ils se jettent sur moi et me crie un grand Surprise » en ce jour si triste, oĂč les nuages semblent embuer le ciel bleu et limpide comme l’eau Je finis par arriver dans la cuisine, le ventre gargouillant de faim, j’en ai presque mal au ventre. Je remarque un petit papier blanc oĂč sont Ă©crit quelques mots dans l’écriture embrouillĂ©e et presque illisible de mon pĂšre, dans une encre noire Nous sommes partis Ă  l’hĂŽpital. PrĂ©pare-toi mon grand. On t’aime ». Je relis ces mots, dix fois, cent fois. Je comprends ce qui se passe mais mon cerveau semble vide. De rage, je jette le papier, en boule, dans la poubelle oĂč s’accumulent cartons et bouteilles. Je ne pense plus Ă  manger, et je file dans ma chambre, tapant sur mon oreiller que je finis par jeter par la fenĂȘtre. Sans que je sache pourquoi une colĂšre digne de ce nom m’envahit. Serai-je jaloux ? Jaloux que je ne sois dĂ©sormais plus le prĂ©fĂ©rĂ© de mes parents, jaloux que je ne sois plus au centre de l’attention ? Je n’en sais Ă©dition par Edward Dawson le Sam 7 Mar - 1135, Ă©ditĂ© 1 fois Edward DawsonHabitant de l'ĂźleNombre de messages 6Age 30Date d'inscription 24/02/2009Fiche du personnageVie privĂ©e Relations Avertissements 0/0Sujet Re Edward Dawson [A Terminer ] Sam 7 Mar - 1131 Quelques secondes plus tard, je sens quelque chose effleurer mes joues, une goutte transparente qui descends jusqu’à ma bouche. Je pleure, sans raison, sans savoir pourquoi, les larmes envahissent mon cƓur et mon esprit bouleversĂ©. Je me lĂšve soudainement, prenant mon manteau et enfilant mes chaussures Ă  la volĂ©e et je cours, cours jusqu’à un arrĂȘt de bus et rentre en vitesse Ă  l’intĂ©rieur. Mon cƓur bat vite autour de ces regards dĂ©sobligeants, les gens se demandant ce qu’un petit garçon de quatre ans et demi peut bien faire dans un bus et comment j’ai bien pu atterrir lĂ , tout seul, sans surveillance. Je finis par arriver Ă  bon port, juste en face du bĂątiment blanc oĂč j’étais il y a dĂ©sormais quelques annĂ©es. Je dĂ©glutis en silence. Je ne sais pas oĂč sont mes parents, je ne sais pas si j’oserais rentrer Ă  l’intĂ©rieur. Mais, comme si un signe invisible m’avait Ă©tĂ© donnĂ©, je fonce Ă  l’intĂ©rieur, sans faire de cĂ©rĂ©monie Je vois cette secrĂ©taire taper sur son clavier Ă  une vitesse inimaginable, et je sens tous ces regards sur moi. Haut comme trois pommes et assez maigre, j’attire l’attention, mais je m’en fiche, je commence Ă  courir dans les couloirs vides de toute trace humaine sauf ces gens en blancs, dont je ne connais rien, dont je vois Ă  peine leurs visages sous leurs masques qui me terrifient. J’entends des bruits de tous cĂŽtĂ©s, sortant des portes oĂč sont inscrits des mots dont je maĂźtrise Ă  peine le sens. Soudain, j’entends un cri aigu, celui de ma mĂšre criant, je sens ses larmes sur ses joues et mes jambes me forcent Ă  suivre mon instinct et Ă  me diriger vers une des portes d’oĂč semble sortir les cris de ma mĂšre. Mes mains frĂȘles et blanches poussent les deux portes blanches et d’une seule poussĂ©e je suis dans la piĂšce oĂč personne ne fait attention Ă  moi. Ma mĂšre est sur un lit blanc oĂč sont penchĂ©s des gens comme ceux des couloirs, ils me terrifient, ils ne me semblent mĂȘme pas humains. PenchĂ© sur le corps de ma mĂšre, je vois un homme qui la regarde, souffrant presque autant qu’elle, Ă  en voir son regard effarĂ©. Je reconnais lĂ  mon pĂšre, mais son visage me semble diffĂ©rent de d’habitude, je ne sais pas en quoi, je ne parviens pas Ă  l’identifier. L’espace d’un instant, un seul, mon regard croise celui de mon pĂšre, ses grands yeux bleus clairs se plongeant dans les miens de couleur Ă©meraude. Je ne sais pas s’il s’aperçoit de ma prĂ©sence ou non, mais il ne dit rien, se penchant Ă  nouveau sur ma mĂšre. Une nouvelle salve de cris surgit soudain, diffĂ©rents de ceux de ma mĂšre, ceux-lĂ  sont plus aigus, plus forts encore. Je vois un sourire sur le visage des gens autour de nous et ces cris qui ne s’arrĂȘtent pas, tandis que mĂȘme mes parents sourient en silence. Je ne sais pas si je dois sourire aussi ou non, ne sachant pas encore ce qui m’attend. En un instant, la piĂšce semble plus grande, tout le monde sauf notre famille est parti. Je me dirige, les jambes tremblantes, vers ma mĂšre et je regarde dans ses bras, l’enfant qui vient de naĂźtre et qui est dĂ©sormais mon frĂšre, de qui je ne sais encore rien, mĂȘme pas son prĂ©nom. Ma mĂšre sourit, et j’entends Ă  nouveau sa voix placide dire doucement, non sans une once d’émotion nouvelle annoncer que mon frĂšre s’appellera Keikoku. Bizarrement, je me sens Ă  nouveau bien, cette sensation d’égoĂŻsme de tout Ă  l’heure a disparu, comme si le voir me rĂ©confortais au fond de moi-mĂȘme et me rĂ©conciliais avec lui. Ma mĂšre me le tend avec une douceur extrĂȘme, comme quand elle me couchait quand j’étais petit, et j’attrape du bout des doigts mon frĂšre. Il est lĂ©ger, je le balance doucement, un sourire bĂ©at affichĂ© sur mon visage habituellement neutre. Je ne sais pas quoi dire, quoi faire. Inconsciemment, les paroles d’une chanson que l’on avait chantonnĂ© me reviennent en tĂȘte et je ne peux m’empĂȘcher de murmurer Show me Love » entre deux de ces cris bruyants. La salle se calme, tandis que Keikoku s’endort doucement dans mes bras, tandis que je continue de murmurer des paroles rĂ©cemment Ă©voquĂ©es dans ma vie, comme si elles avaient tout dĂ©terminĂ©es. Mes parents nous regardent dans une profonde Ă©motion, des larmes coulant sur leurs joues. Cette fois, je sais qu’ils ne pleurent pas car ils se sont disputĂ©s ou car j’ai fait quelque chose de mal, non. C’est car ils sont heureux. Heureux de nous voir tous les deux, de voir enfin un sourire illuminer mon visage. Heureux. Je le redonne Ă  ma mĂšre, avant de tomber Ă  terre, fatiguĂ© d’avoir tant couru et par tant d’émotions. Le sol est froid, mais tout me semble chaleureux, tout me semble calme et paisible. Mes yeux ne veulent pas s’ouvrir et je continue de dormir, sans me soucier de ce qui se passe aux alentours. Je me rĂ©veille soudainement, dans une piĂšce blanche, affalĂ© sur une chaise de couleur grise souris. Mon crĂąne me fait horriblement mal, comme si, dans mon sommeil, on m’avait martelĂ© la tĂȘte Ă  coups de marteaux durant un temps infini. Tout semble flou autour de moi, je me souviens Ă  peine oĂč je suis quand j’entends des cris non loin de moi, me rappelant Ă  la rĂ©alitĂ© oĂč je suis et ce que je fais ici. Je ne sens plus cette chaleur sur mes bras, plus rien ne m’entoure, sauf quelques personnes inconnues qui me sourient comme Ă  un petit garçon bien sage. Mon pĂšre apparaĂźt, soudainement, sortant d’une des salles, un sourire empreint d’une douceur sereine. Je lui retourne son sourire distraitement, comme un automatisme. Il m’apprend que ma mĂšre est fatiguĂ©e et qu’il faut la laisser ici le temps qu’il faudra avec Keikoku, tandis que nous serons Ă  la maison. Il me serre dans ses bras, sans raison apparente et Ă©bouriffe un peu plus mes cheveux avant de poser sa main dans mon dos et de m’entraĂźner dehors, sur le parking oĂč est garĂ©e la voiture noire et sobre. DĂšs que nous sommes rentrĂ©s Ă  la maison, je file dans ma chambre sans mot, sans mĂȘme croiser le regard de mon pĂšre. J’aperçois mon oreiller encore humide de mes larmes, cela me semble loin et j’ai l’impression d’avoir mĂ»ri depuis ce temps, mĂȘme si cela n’a eu lieu qu’il y a quelques heures. Je me rends immĂ©diatement Ă  mon endroit favori, prĂšs de la fenĂȘtre oĂč j’aperçois le ciel ainsi que les nuages tantĂŽt clairs, tantĂŽt plus foncĂ©s. J’y ressens les rayons chauds et apaisants du soleil. Quand Keikoku sera plus grand, je lui montrerais cet endroit que j’aime tant, j’aime m’y rĂ©fugier et laisser mes pensĂ©es divaguer sans ne plus penser Ă  ce qui m’entoure, ni oĂč je suis. Je pars, pour quelques heures, dans le ciel clair autant que le jour que la nuit. Si je n’arrive pas Ă  dormir, je sais que c’est lĂ  que j’irais, pour y observer la lune et les Ă©toiles qui brillent, illuminant cette nuit d’une couleur d’encre. Les jours me semblent calmes et simples quand ma mĂšre n’est pas lĂ , trop calme. Je n’ai que pour unique compagnie mon pĂšre, nous deux ne nous comprenais pas vraiment. Il essaye de m’expliquer que dĂ©sormais il faudra que je sois sage, que je vais commencer Ă  frĂ©quenter d’autres enfants de mon Ăąge et qu’il faudra que je sois davantage Ă  l’écoute de Maman et, dĂ©sormais, de mon petit frĂšre. Je ne lui rĂ©ponds jamais rien, je n’ai que quatre ans aprĂšs tout, je ne comprends pas encore tout Ă  fait le poids de ses paroles pleines de reproches. AprĂšs environ une semaine, la porte claque dans la maison et je sors de mes rĂȘves pour courir Ă  toute allure pour revoir ma mĂšre ainsi que mon petit frĂšre. Je me jette doucement dans les bras de ma mĂšre, qui me repĂȘche en prenant soin de Keikoku. L’espace d’un instant, les rires et les sourires rĂ©sonnent Ă  nouveau dans la maison. Finalement, nous nous endormons tous sur le canapĂ©, alors que nous regardions tranquilement la tĂ©lĂ©, chacun l'un sur l'autre. Tous allongĂ©s, nous sommes Ă  nouveau une famille rĂ©unie et heureuse. Cela durera... temps passe, doucement, je grandis doucement comme Keikoku. Nous allons Ă  l'Ă©cole, oĂč je commence dĂ©jĂ  Ă  me faire remarquer comme Ă©tant quelqu'un de perturbĂ©. Il est vrai que j'aime ouvrir mon bureau extrĂȘmement et le refermer de cette mĂȘme maniĂšre, me lever en classe pour je ne sais quoi et, Ă  la rĂ©crĂ©, dessiner sur le tableau noir. Je dessine bien, mais la maĂźtresse s'en fiche et elle ne tarde pas Ă  convoquer mes parents qui ne se doutaient, jusqu'alors de rien de ce que je pouvais faire, de ce qui pouvais se passer dans la piĂšce close. DĂ©sormais je serais sage, du moins j'essayerai, pour moi, je ne fais rien, aucun bĂȘtise. La maĂźtresse Ă©crit bien sur le tableau, pourquoi n'y dessinerai-je pas ? Mais mes parents trouvent toujours des excuses et finissent par avoir le dernier mot. Dans la voiture, je ne dis rien. Eux non plus, la radio Ă©met un son lĂ©ger, mais je l'entends Ă  peine, quelque peu bouleversĂ©. Je me rends compte que je n'arriverais pas Ă  ĂȘtre comme les autres, qui Ă©crivent doucement sur leurs cahiers, lĂšve la main pour parler etc. Ils me changent donc d'Ă©cole, pour aller Ă  une qui sera, certes, plus coĂ»teuse mais sans doute mieux pour moi. Je me rends compte que notre situation devient Ă©trange. Mes parents ne travaillent pas, mais ils restent Ă  la maison toute la journĂ©e ou presque. Ils invitent parfois des gens Ă©tranges, tout habillĂ©s de noir ainsi que des lunettes de cette mĂȘme couleur lugubre. DĂšs que j'essaye de leur demander, ils me rembarrent et me demande d'aller dans ma chambre. Mais j'entends, Ă  travers la porte, l'oreille collĂ©e sur celle-ci, j'arrive Ă  Ă©couter des bribes de conversations, mais tout ça, je ne comprends pas. Ils utlisent des mots complexes. MalgrĂ© le fait que je sois intelligent, je n'arrive pas Ă  tout saisir, certains mots, mĂȘme beaucoup, me sont Ă©trangers. Mais je sais une chose mes parents ne sont plus ce qu'ils Ă©taient, avec leurs rires cristallins et leurs sourires chaleureux. Ca aussi, Keikoku l'a ressenti, il est venu une nuit me voir, en pleurs, comme si un horrible drame s'Ă©tait produit. Et Ă  mon grand dĂ©sespoir, mon frĂšre faisait des rĂȘves prĂ©monitoires. Il m'avait dit ce jour-lĂ  que Papa et Maman allait gagner Ă©normĂ©ment d'argent, mais qu'un jour, des gens allaient venir prendre la maison. Cela avait faili arriver. Depuis, nous nous cachions presque, moi et mon frĂšre. Lui faisait des rĂȘves prĂ©monitoires et moi sachant contrĂŽler les Ă©motions des gens, nous savions que nous n'Ă©tions pas "normaux". Nous ne disions donc rien Ă  nos parents, aucun mot sur ce qui se passait, ces choses Ă©tranges que nous ne comprenons mĂȘme pas. Mais nos soucis sont bien ailleurs, sur nos parents notamment. Nous essayons de comprendre, qu'ils nos expliquent, mais ils ne filtrent rien, comme un secret bien gardĂ© dans un coffre que l'on n'ose pas ouvrir de peur d'y trouver des choses...Quelques annĂ©es plus tard, mon frĂšre et moi rentrons du collĂšge, ensemble, moi en 6Ăš et lui, quelques annĂ©es en dessous, mais Ă©tant le mĂȘme bĂątiment, cela nous importe peu. Nos cartables sur nos dos nous frappent les reins tandis que nous nous coursons l'un l'autre, Ă  travers le champ que nous aimons traverser quand nous ne sommes pas trop en retard. Nos parents ont beaucoup changĂ©s, mais nous essayons de ne pas y penser, dĂ©bordant sur nos pensĂ©es joyeuses et Ă©vasives. Ils ont tous deux commençer Ă  continuer de frĂ©quenter des gens Ă©tranges, commencent Ă  Ă©normĂ©ment boire et nous crier dessus dĂšs que l'un de nous a la malchance de faire une moindre bĂȘtise. Mais nous n'y pensons pas, du moins, nous essayons. Nous voyons tous deux la maison beige dans notre champ de vision et, d'un coup, nous courons plus vite. Nos regards se croisent en quelques instants, et un sourire inonde nos visages fins. Nous n'avons mĂȘme pas besoin de parler. J'aperçois, au loin, ma mĂšre mettant le linge sur le fil. Elle se tourne, son regard Ă©meraude me glace sur place, mais elle ne s'attarde pas sur moi, elle se tourne vers mon frĂšre qui se demande ce que j'attends pour continuer Ă  courir, ne comprenant pas. Cependant, dans ma tĂȘte, tout est clair, je le ressens clairement et simplement sans savoir comment je peux ils ont dĂ©couvert le secret de Keikoku. Je commence Ă  sprinter vers ma mĂšre, devançant mon frĂšre, bĂ©at de stupeur. Mais, prenant cela comme un jeu ou un dĂ©fi, il va plus vite et me dĂ©passe, un bruit Ă©touffĂ© sors de ma bouche, mais je ne parvins pas Ă  l'arrĂȘter. D'une voix joyeuse il fonce sur notre mĂšre. L'instant aprĂšs, il est Ă  terre, terrassĂ© par la claque assassine de sa main froide, glacĂ©e. Il la regarde, les larmes coulant sur ses joues, tandis que je ne bouge pas, mais l'instant d'aprĂšs je suis Ă  ses cĂŽtĂ©s, regardant ma mĂšre comme elle fait le regard glacial et sinistre. La main au ciel, elle attend que je me pousse pour frapper Ă  nouveau mon frĂšre. J'aperçois ses veins saillirent et son regard angluĂ© de sang, prouvant qu'elle a nouveau bu. Soudainement, quelque chose m'accroche, m'arrachant Ă  mo petit frĂšre, ma mĂšre en profite, mais je me dĂ©gage de l'Ă©treinte de mon pĂšre et fonce sur Keikoku, tremblant. Un cri de douleur m'Ă©chappe; je sens la paume de ma mĂšre frapper mon dos frĂȘle d'une force insoupçonnĂ©e chez elle, dĂ»e Ă  son corps sens les gouttes de mon frĂšre tomber sur mon haut, tandis que la blessure de mon dos s'enfonce doucement, comme pour me transperçer. Ma mĂšre, colĂ©reuse d'avoir ratĂ© son cou, me retire de mon frĂšre et me colle contre le mur, mon frĂšre s'enfuit, sous ordre de ma part. Les coups sont violents, je ressens chacun, les muscles saillants sous ma peau blanche et frĂȘle. La scĂšne est dĂ©sormais gravĂ©e dans mon esprit. Mes parents finissent par aller chercher un fouet, puis un couteau, m'infligeant des blessures plus obscures les unes que les autres. Tout devient noir, tombant dans les pommes, j'entends le bruit d'une ambulance, et le son de la voix de mon frĂšre, cela est la derniĂšre chose que j'entends avant de sombrer. Je ne sais pas oĂč je suis, j'entends juste des voix, mais mes yeux ne voyent rien j'ai perdu la vue, Ă  cause des blessures infligĂ©es Ă  mon visage. Les mĂ©decins disent que je m'en sortirais, je suis vivant. Cependant, ils ne savent oĂč est mon frĂšre, enfui aprĂšs qu'il y cru que je sois mort. Mon coeur tandis que le moindre de mes mouvements me retire une grimace. Il me faut des mois pour tout apprĂ©hender, pour essayer de me dĂ©brouiller sans voir. Je ne sais pas comment j'arrive Ă  percevoir ce qui m'entoure, Ă  sentir le bruit du vent et Ă  distinguer les objets les uns des autres. Un jour, j'ouvre enfin de nouveau les yeux, la vue quelque peu embrouillĂ©e, un violent mal de tĂȘte s'empare de moi. On m'annonce pourtant que tout s'est bien passĂ©, que je n'aurais plus de problĂšmes, enfin normalement. Je ne sais pas vraiment qui me parle. A demi allongĂ© sur mon lit, le torse nu, ma main frotte mon crĂąne endolori tandis que mes yeux ne distinguent que de vagues formes blanches qui bougent. Mais Ă  leurs voix, je devine tout de suite que ce sont les infirmiĂšres, elles qui m'ont souvent aidĂ©. Les jours passent vite, je ne m'en aperçois pas vraiment, mais je dĂ©cide de quitter l'hĂŽpital, pensant ĂȘtre rĂ©tabli, mĂȘme s'il me l'interdit. Je me promĂšne, les bras ballants, j'arrive Ă  l'endroit voulu. Celui oĂč l'on peut trouver une famille d'accueil, je ne souhaite plus revoir la mienne. Je soupira devant la porte, Ă©pris d'un soudain souffle un bon coup et pousse la porte d'une main incertaine, j'entends une clochette rĂ©sonner au-dessus de ma tĂȘte, annonçant de suite mon arrivĂ©e Ă  quiconque serait Ă  l'intĂ©rieur. . Edward DawsonHabitant de l'ĂźleNombre de messages 6Age 30Date d'inscription 24/02/2009Fiche du personnageVie privĂ©e Relations Avertissements 0/0Sujet Re Edward Dawson [A Terminer ] Sam 7 Mar - 1137 La piĂšce est banale, blanche, trois bureaux oĂč sont des ordinateurs, dont l'un des hommes me regarde de derriĂšre le sien. Il me sourit et se dirige vers moi, la main tendue. - Ah ! Edward enfin, viens je t'attendais! Assieds-toi, nous allons parler. Bien, tout d'abord, tu vas m'expliquer en dĂ©tail pourquoi tu cherches une famille d'accueil, ensuite nous essaierons de trouver une famille qui pourra t'accueillir. N'aie pas peur, je ne vais pas te faire la morale ou quoi que ce soit. Je t'Ă©coute... Sans savoir pourquoi, je commence Ă  faire confiance Ă  cet homme et je parle, parle, parle, plus rien ne peut m'arrĂȘter. Je m'Ă©tonne moi-mĂȘme de l'exactitude mes souvenirs, je croyais que tout s'embrouillerait, mais non mes propos sont cohĂ©rents, montrent parfaitement mon ex-vie. Ma voix est sĂ»re, malgrĂ© le fait qu'elle tremble dĂšs que je parle de Keikoku, le seul dĂ©sormais, qui m'importe. Cependant, je ne pleure pas, ne colĂšre pas, ma voix reste placide, mes mains posĂ©es sur mes genoux ne tremblent pas, mon stress se dĂ©lie au fil de mes souvenirs. Je le regarde, le regard rassurant et compatissant il m'Ă©coute de tout son coeur, de toute son Ăąme, j'ai l'impression qu'il me comprend, je sens qu'il lit la tristesse en moi et qu'il compatit. Au bout de trois heures de bavardage sans pause, je me tais enfin, le souffle coupĂ©, le rĂ©cit terminĂ©. Il ne dit rien, comme encore Ă©pris de mon rĂ©cit troublant de vĂ©ritĂ©. Il me dĂ©clare d'une voix claire qu'il me trouvera une famille d'accueil qui me conviendra, et qu'il viendra me chercher Ă  l'hĂŽpital, Ă©tant le seul lieu de rĂ©sidence oĂč je puisse aller pour le moment. Un sourire s'esquisse sur mon visage clair, un que je n'ai pas eu depuis longtemps. Je flĂąne dans la rue, sachant pertinemment le sermon que vont m'infliger les personnes de l'hĂŽpital, n'ayant prĂ©venu personne de cette sortie en solitaire. Nous sommes en DĂ©cembre, la neige tombe doucement sur la ville, la rendant encore plus belle, laissant une fine couche blanche sur le trottoir et sur les arbres. Il fait dĂ©jĂ  nuit, le soleil a disparu depuis bien longtemps et la lune apparaĂźt tremblante et pĂąle dans le ciel aussi noir que l'encre, me faisant frĂ©mir, certainement le froid. Je regarde Ă  terre, ne voulant pas que les personnes croise mon regard, je ne veux pas qu'ils aient pitiĂ© de moi, je suis capable de me dĂ©brouiller, mĂȘme s'il est vrai que je suis quelque peu perdu entre les dĂ©dalles des rues qui passent et se ressemblent toutes. Mais, au bout d'une bonne heure passĂ©e sous le froid et la neige, j'aperçois le bĂątiment blanc, qui est pour moi, un peu comme un hĂŽtel. Les infirmiĂšres me voyent arriver les mains dans les poches, alors qu'elles les ont tremblantes, elles ont l'air de s'ĂȘtre inquiĂ©ter pour moi. Elles me parlent gentiment, m'explique qu'il ne faut pas que je m'enfuisse, mais Ă  dire vrai, je m'en fiche un peu, la seule pensĂ©e qui m'obnubile est celle de ma future famille, mais encore faudrait-il que quelqu'un veuille de moi, et cela n'est pas gagnĂ©, je le sais. Je me couche, le coeur sombre, mais les pensĂ©es claires aprĂšs avoir enfin rĂ©ussi Ă  parler. Quelques minutes durant, je ne trouve le sommeil, stressĂ©, mais, Ă©reintĂ© par cette journĂ©e chargĂ©e en Ă©motions, je dors, l'esprit tranquille, ou presque. Je me lĂšve dans une journĂ©e encore baignĂ©e de nuit, le soleil se levant doucement, profilant ses rayons chaleureux Ă  l'horizon. Je lĂšve le haut de mon corps, et m'assois dans le lit aux draps blancs chiffonĂ©s dans tous les sens. Les cicatrices de mes poignets me brĂ»lent, rouges de sang et trĂšs certainement indĂ©lĂ©biles, elles ne disparaissent, comme ma peine, emplissant mon coeur de douleur un peu plus chaque jour. Je les cachent, du mieux que je peux, mais personne n'es dupe, je le sais. J'attends, assis, sans ne faire quoi que ce soit. Le regard perdu dans le vide du ciel encrĂ©, la main droite posĂ©e sur mon menton clair. Les secondes, les minutes passent, mes yeux Ă©meraude filtrent la fenĂȘtre de plexiglas oĂč le soleil apparaĂźt dĂ©sormais, bien prĂ©sent dans le ciel opalescent oĂč les nuages rosĂ©s se promĂšnent. Quelques minutes aprĂšs, j'entends, sans grande surprise, la porte blanche grinçer doucement, dans un silence habituel. Des pas se font entendre, rĂ©sonnant sur le sol blanc de ma chambre, oĂč je suis lĂ  depuis maintenant presque un mois. Comme chaque jour, Nanako, mon infirmiĂšre, viens vĂ©rifier mon Ă©tat, me fait quelques piqĂ»res au besoin, ne me provquant dĂ©sormais plus aucune douleur. Puis, dĂšs qu'elle a terminer de vĂ©rifier, elle part dans des discours interminable, oĂč je pers quelque fois le fil. mais aujourd'hui, je ne l'Ă©coute que d'une oreille distraite, espĂ©rant qu'elle finira au plus vite, pour que je puisse quitter la piĂšce par la fenĂȘtre lĂ©gĂšrement entrouverte d'oĂč sort un air frais faisant voleter mes cheveux. Enfin sortie, Nanako revient quelques minutes plus tard, alors que je m'apprĂȘtais Ă  ouvrir en grand la fenĂȘtre. N'y prĂȘtant pas attention, elle disparaĂźt Ă  nouveau derriĂšre la porte, en la fermant doucement. Je m'habille en vitesse, puis saute par la fenĂȘtre en arrivant, assez maladroitement, sur mes grandes jambes. Je cours jusqu'Ă  ce que j'aperçoive la facade blanche et lisse du bĂątiment que je cherche des yeux. L'homme, qui se prĂ©nomme Hishigi, m'attend derriĂšre son bureau grisĂątre, m'attendant depuis au moins dix bonnes minutes. Cependant, il ne semble pas impatient, un sourire illuminant son visage, encore plus radieux que celui avec lequel il m'avais accueilli voilĂ  une semaine. Apparemment, il m'a trouvĂ© une famille d'accueil, il sourit toujours en m'expliquant cela, comme si ma famille Ă©tait bien. Je l'Ă©coute, mais mon regard se pose sur un homme et une femme, apparement en couple, leurs rires rĂ©sonnent, cristallins, tout comme ceux de mes parents. Ils discutent, sourient, ils me paraissent diffĂ©rents des autres personnes, sans que je ne sache pourquoi, ils accrochent mon regard vert. Je dĂ©tourne les yeux, ayant conscience de les fixer trop intensĂ©ment, je me raccroche aux paroles d'Hishigi, mais avec difficultĂ©. Soudain, j'aperçois deux formes s'asseoir Ă  mes cĂŽtĂ©s. Mes yeux surpris regardent le couple qui me sourit, je ne dis rien, Ă©bahi, que les personnes que j'observais quelques minutes auparavant, sont dĂ©sormais Ă  mes cĂŽtĂ©s, et peut-ĂȘtre, ma future famille. On m'annonce que je vais rester avec eux une semaine entiĂšre pour voir si je m'adapte et si ma famille m'accepte ou non. Je sais qu'il faudra que je sois un minimum sage, mais je ne pourrais leur cacher ma vraie personnalitĂ© pour qu'ils mettent Ă  la porte aprĂšs. En fin de compte, je ne mĂ©rite peut-ĂȘtre pas que des personnes s'intĂ©ressent Ă  moi, tout simplement. Je sens une main chaude et chaleureuse se poser sur mon Ă©paule frĂȘle, et remarque l'homme qui va me servir de tuteur. J'arrive Ă  lui esquisser un sourire, qui reste tout de mĂȘme forcĂ©. Puis, aprĂšs, ça y est, j'y suis. AprĂšs avoir vivement rĂ©cupĂ©rĂ© mes affaires Ă  l'hĂŽpital et ai-je dit au revoir Ă  Nanako et Ă  toute l'Ă©quipe que je me retrouve Ă  l'arriĂšre de la voiture, tandis que la radio Ă©met un son extrĂȘment bas par rapport aux paroles de mes tuteurs qui me parlent doucement de mon passĂ©, qu'il ne fallait pas que je m'inquiĂšte. Je n'Ă©coute que trĂšs peu leurs paroles mais remarque le regard complice qu'ils se lancent, comme si seuls eux savaient quelque chose que j'ignore encore. Cependant ce regard n'est pas joyeux, non, sombre, je devine qu'ils me cachent encore quelque chose dont je ne parvins Ă  dĂ©viner ce que c'est. Nous arrivons devant un portail blanc s'ouvrant alors que la voiture grise s'en approche. Je sors doucement de la voiture, essayant de ne pas claquer la porte derriĂšre moi. La maison est magnifique. Grande et blanche, elle s'Ă©lance majestueusement dans le ciel bleu, les fenĂȘtres ouvertes. La grande porte de chĂȘne semble loin, juste devant environ cinq marches se dressent Ă  la maniĂšre des palais. Sur mes cĂŽtĂ©s, de magnifiques bosquets et de grands arbres s'Ă©lancent, des fleurs dont les couleurs illuminent mon visage tant elles sont belles. Quelqu'un atterit sur moi, m'arrachant Ă  ma rĂȘverie. La voix claire de ma tutrice rĂ©sonne dans le jardin, sans pour autant qu'elle ne crie- Haruko ! Descends d'Edward, voyons ! Tu va l'Ă©touffer !La jeune fille espiĂšgle aux cheveux marrons, assisse sur moi, redescend en souriant et en s'excusant. Tout le monde rigole, moi le premier, mĂȘme si les cailloux s'enfoncent quelque peu dans ma peau blanche. Cela fait longtemps que je n'avais ri comme ça, et malgrĂ© le fait que je ne peux me l'avouer, je suis bien. La main d'Haruko se tend vers moi avant que je ne l'attrape vivement et me relĂšve, Ă©poussetant mes vĂȘtements. J'aperçois, perchĂ© sur le porche de la porte, un garçon d'environ douze ans, deux de plus que moi, donc. Il me regarde, d'un mauvais regard, ses yeux noirs et profonds dĂ©fiant les miens. Il ne tient pas longtemps et, se retournant vivement, rentre dans la maison. Kazumi, ma tutrice, le laisse s'en aller dans un profond soupir las, et me dĂ©clare presque avec pitiĂ© qu'il n'Ă©tait pas d'accord Ă  accueillir un nouveau membre dans la famille pour diverses raisons. Mes sourcils se froncent lorsque sa voix devient moins claire Ă  certains passages de ces paroles, n'ajoutant aucune explication Ă  ses mots. Nous pĂ©nĂ©trons Ă  l'intĂ©rieur de la maison sans attendre. Kazumi me montre toutes les piĂšces tandis qu'Ishiro me donne tout commentaire qu'il juge utile. Cela me rappelle Ă©trangement mon enfance, lorsque, encore tout petit, mes parents me prĂ©sentaient chaque piĂšce comme un bijou, commentaires Ă  l'appui, comme le fait si bien mon nouveau tuteur. Je sais qu'il me suit, ce gars, je le sens, il me suit, me fuit, comme une ombre, constamment avec moi. La semaine passe vite, chaque jour, les rires Ă©clatent dans la maison, tantĂŽt en raison des bĂȘtises d'Haruko, elle que je considĂšre dĂ©jĂ  comme ma vĂ©ritable petite soeur tant elle me rappelle Keikoku, Ă©prise de libertĂ© et ne pouvant rester en place. Ils me semblent tous si heureux, ils ne me parlent jamais de mon passĂ© lugubre, sand doute leur en a-t-on dĂ©jĂ  parlĂ©. Le dernier soir, je ne sais pas quoi faire, alors, comme Ă  mon habitude aprĂšs les rires, je retourne Ă  ma solitude dans la chambre bleuĂątre que m'a accordĂ© la famille. Je m'affake sur le lit, faisant trembler les rideaux du lit Ă  baldaquin tandis que je sens les ressorts grincer sous mon poids. Un petit bruit se fait soudain entendre sur la porte, et quelques secondes plus tard, mon tuteur,Ichiru,est devant moi, un sourire Ă©nigmatique au visage tandis que je souris en apercevant l'ombre d'Haruko qui se dessine, en se cachant derriĂšre le dos de son pĂšre. Je vais pour fermer la porte et en profite pour tirer la langue Ă  la jeune protagoniste avant de me tourner vers, peut-ĂȘtre, mon futur pĂšre. Un silence oppressant s'installe dans la piĂšce, chacun semblant chercher ces mots. Je m'exclame d'une voix forte- Je vous re... -Edward...Nous avons pris notre dĂ©glutis, une sentation de vide me tiraillant, je savais que cela se passerait comme ça. Je baisse les yeux sur le parquet de couleur brunĂątre que je ne verrais sans doute plus jamais. Mes yeux me piquent tandis que je distingue encore la prĂ©sence de la petite fille derriĂšre la porte et que la voix de celui que j'aurais pu appeller mon tuteur est prĂȘt Ă  me dire qu'il va jeter, pour je ne sais quelle raison. Je ne sais pourquoi j'ai ces rĂ©actions puĂ©riles au fond de moi, je devais m'y attendre de toute maniĂšre, mais c'Ă©tait comme chaque membre, chaque piĂšce, chaque moment avec cette famille me semblait Ă©tincelant comme le soleil et reconfortant comme si toute mon enfance n'avait jamais existĂ©. Il se tourne enfin vers moi, son visage cachĂ© par le grand lit au milieu de la piĂšce. Je lme vois dĂ©glutir tandis qu'il prononce les mots que j'attends avec, presque, impatience, celle de ne plus m'attarder sur ces choses Je...C'est moi qui ai dĂ©cidĂ© de cette dĂ©cision, les autres n'en savent strictement rien. Je sais que ton passĂ© Ă  Ă©tĂ© rude, nous en avons longtemps parlĂ© avec le notaire. Je sais que cela t'aurait fait trĂšs plaisir d'avoir une famille d'accueil dans laquelle tu aurais Ă©tĂ© bien mais...J'ai le malheur de te dire que tu resteras de longues, ĂŽ trĂšs longues annĂ©es avec nous, et je peux te dire que tu va devoir nous supporter! Bienvenue Edward... le regarde, Ă©tonnĂ© tandis que je ne parvins Ă  rĂ©aliser ce qui m'arrive. Des gouttes brillent sur mes jouesn Ă©prouvĂ© par la tristesse et le bonheur de cette nouvelle soudaine qui me procure tant de joie. Je saute dans les bras ouverts de mon tuteur, tandis que nous nous donnons des claques mutuelles dans le dos, nous dĂ©chirant des larmes des yeux, tellement nous sommes heureux. J'entends soudainement la petite porte blanche grincer et aperçois le regard marron de ma petite soeur, un sourire espiĂšgle au visage tandis qu'elle me tire la langue, satisfaite de son coup. Je lui rĂ©plique un sourire avec enthousiasme avant que celle-ci ne m'atterisse aussi dans les bras. Je sens ses mains se glisser sur mon dos frĂȘle tandis que je sens aussi des gouttes sur mon cou et me laisse dĂ©border aussi, Ichiru nous rejoignant. Tous les trois, lĂ , entourĂ©s chacun les autres, nous sommes biens, nous ne quitterons jamais, que ça plaise ou non aux gens. Puis nous descendons enfin Ă  l'Ă©tage infĂ©rieur, allant rejoindre Izumy et Eisaku, qui nous attendent, l'air anxieux de la dĂ©cision qu'Ă  pris leur mari ou leur pĂšre. Je reste Ă©tonnĂ© devant la rĂ©action extrĂȘmement jovial d'Eisaku tandis que mon pĂšre leur apprend que je fais dĂ©sormais partie de la famille Nagoshi. Nous nous prenons tous dans les bras, c'est si chaud, si bon, cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti cette impression Edward DawsonHabitant de l'ĂźleNombre de messages 6Age 30Date d'inscription 24/02/2009Fiche du personnageVie privĂ©e Relations Avertissements 0/0Sujet Re Edward Dawson [A Terminer ] Sam 7 Mar - 1139 Histoire Ă  Terminer >_ Bienvenuedans cette nouvelle aventure sur PokĂ©mon Diamant ÉtincelantN'hĂ©sitez pas Ă  passer parler avec nous sur TwitchTwitch : Bon plan PokĂ©mon Diamant Etincelant Nintendo Switch a chez CDiscountBon plan CDiscount valable Ă  partir du jeudi 25 aoĂ»t 2022Cdiscount vous propose d'acheter le jeu Nintendo Switch PokĂ©mon Diamant Etincelant pas cher grĂące Ă  cette offre. 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Votre chemin pour devenir le meilleur Dresseur vous emmĂšnera dĂ©couvrir des villes inspirĂ©es de celles de l’üle d’Hokkaido au Japon, vous fera affronter la Team Galaxie et son chef mĂ©galo et, bien sĂ»r, plonger dans la mythologie entourant les PokĂ©mon LĂ©gendaires Dialga et Palkia, maĂźtres du Temps et de l’ direction artistique modernisĂ©e et son scenario inchangĂ© raviront les fans et les nouveaux venus qui pourront revivre l’expĂ©rience d’épisodes cultes dĂšs le 19 novembre, exclusivement sur les consoles de la gamme Nintendo articles qui ont Ă©tĂ© concernĂ©es par cette offreCommentaires, avis et questions Laissez vos commentaires ou posez vos questions. Partager cette pageLes derniĂ©res promos CDiscount Jeux et Jouets ODR et promos Ă©galement disponibles Test– PokĂ©mon Diamant Étincelant/Perle Scintillante AprĂšs une annĂ©e de pause, laissant place aux DLC de PokĂ©mon ÉpĂ©e et Bouclier,

Depuis une bonne semaine, les joueurs ou plutĂŽt les dresseurs du monde entier peuvent repartir sur les routes de Sinnoh pour combattre la Team Galaxy et percer les secrets de Dialga et Palkia, les deux PokĂ©mon LĂ©gendaires de Diamant Étincelant et Perle Scintillante. Au programme, vous allez vivre ou revivre une aventure de 2006, sortit dans un premier temps sur Nintendo DS, remise au goĂ»t du jour avec des graphismes amĂ©liorĂ©s et quelques nouveautĂ©s spĂ©cialement conçues pour les joueurs de la Switch. Ce remake est-il Ă  la hauteur de nos attentes ? Devons-nous craquer ? On voit cela tout de suite ! Oui pour la nostalgie © Ces derniĂšres annĂ©es, la licence PokĂ©mon n’a pas fait l’unanimitĂ© auprĂšs des fans de la premiĂšre heure. Ces derniers reprochent Ă  Game Freak de rendre la sĂ©rie trĂšs enfantine trop accessible Ă  tous, avec des projets discutables et pas toujours Ă  la hauteur de la renommĂ©e de cette licence lĂ©gendaire. Les derniers PokĂ©mon ÉpĂ©e et Bouclier en sont le parfait exemple avec de nombreuses aides dispensables et des dialogues d’une lourdeur sans prĂ©cĂ©dent. Avec PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante, nous pouvons nous autoriser Ă  plonger dans la nostalgie avec un jeu identique Ă  la version DS de 2006 avec un bon lifting graphique et des nouveautĂ©s qui sont les bienvenues. C’est un plaisir de retrouver la rĂ©gion de Sinnoh et de pouvoir capturer 150 PokĂ©mon issus des quatre premiĂšres gĂ©nĂ©rations des monstres de poche. Sceptique pour les graphismes © Avec ce remake, ILCA les dĂ©veloppeurs fait le choix Ă©tonnant de proposer un nouveau moteur 3D et des personnages en chibi personnage mignon au style mangas. Cela surprend dans les premiers instants et les fans risquent d’ĂȘtre un peu perturbĂ©s. Nous avons l’impression de jouer au remake de Zelda Link’s Awakening ou Ă  un JRPG. MalgrĂ© cela, le rendu reste propre et mignon. En mode portable, le jeu est vraiment joli, sans aliasing ce qui est assez rare. Les cinĂ©matiques ont Ă©tĂ© retravaillĂ©es pour l’occasion et nous avons le droit Ă  des gros plans pas toujours rĂ©ussis sur les personnages pour bien nous montrer qu’il y a eu du changement par rapport aux versions originales. © PokĂ©mon Diamant Étincelant et Perle Scintillante proposent ainsi un style old-school modernisĂ©. HĂ©las, le titre n’est pas toujours joli. Certaines animations des PokĂ©mon lors des combats ne sont pas toujours rĂ©ussies, voire mĂȘme grossiĂšres par moment pour un jeu de 2021. Il y a un dĂ©calage au niveau des personnages chibi qui redeviennent normaux » dans les sĂ©quences de combats. Petite prĂ©cision, ce remake est dĂ©veloppĂ© par le studio ILCA Ă©tant donnĂ© que Game Freak est actuellement en plein travail sur PokĂ©mon Legends Arceus. Oui pour les nouveautĂ©s © PokĂ©mon Diamant Étincelant et Perle Scintillante proposent quelques petites nouveautĂ©s bien sympathiques Ă  dĂ©couvrir. On commence avec les Souterrains de Sinnoh. Il s’agit de gigantesques galeries dans lesquelles vous pouvez vous balader et accĂ©der Ă  de grandes salles avec des PokĂ©mon en libertĂ©s que vous pouvez voir Ă  l’écran. Il s’agit clairement d’un parc Safari souterrain avec des PokĂ©mon relativement rares que vous pouvez capturer. Il est Ă©galement possible de rechercher des pierres prĂ©cieuses et autres coffrets Ă©lĂ©gants ». Ces coffrets vous permettent de gagner des statues que vous pouvez installer dans votre base secrĂšte, que vous pouvez creuser dans les sous-terrains. GrĂące Ă  cela, vous allez pouvoir faire varier le type de PokĂ©mon que vous allez rencontrer dans les salles. © Vous pouvez Ă©galement augmenter vos chances de rencontrer certains PokĂ©mon, dont les starters de dĂ©part en version Shinny. Les sous-terrains vous aideront Ă  remplir votre PokĂ©dex Ă  100%. Lorsque vous aurez battu la Ligue PokĂ©mon, vous allez pouvoir vous rendre dans la Tour de Combat pour relever de nouveaux dĂ©fis. Il sera possible aussi de vous rendre au Parc Rosa Rugosa, une nouvelle zone inĂ©dite vous permettant de capturer des PokĂ©mon rares et les lĂ©gendaires de la premiĂšre et de la seconde gĂ©nĂ©ration aprĂšs avoir trouvĂ© des artefacts cachĂ©s dans la rĂ©gion de Sinnoh. © Vous pouvez recevoir gratuitement un Mew et un Jirachi si vous possĂ©dez une sauvegarde de PokĂ©mon Let’s Go Pikachu ou Evoli ainsi que PokĂ©mon ÉpĂ©e ou Bouclier sur votre Switch. Les deux PokĂ©mon vous seront offerts Ă  Floraville. Enfin, il est possible de vous promener aux cĂŽtĂ©s de l’un de vos PokĂ©mon prĂ©fĂ©rĂ©s comme dans Let’s Go afin d’obtenir un bonus d’expĂ©rience. D’autres nouveautĂ©s sont Ă  venir comme le ColisĂ©e, un gros tournoi en ligne et la Station MEM Global Trade System, un systĂšme d’échange mondial de PokĂ©mon. Les deux fonctionnalitĂ©s seront disponibles plus tard. Non pour certaines mĂ©caniques qui n’ont pas Ă©voluĂ© © Ces remakes proposent pas mal de petites choses sympathiques, mais traĂźnent encore de nombreux dĂ©fauts. Nous retrouvons encore de vieilles mĂ©caniques insupportables comme l’aspect robotique des personnages qui ne sont toujours pas capables de dĂ©placer en diagonales. Nous faisons face Ă  des textes infinis que nous sommes obligĂ©s de passer sans prendre le temps de les lire. PokĂ©mon Diamant Étincelant et Perle Scintillante proposent tout le contenu des jeux originaux. HĂ©las, le contenu de PokĂ©mon Platine n’est pas prĂ©sent dans ces remakes. Les jeux sont plus simples que les titres d’origines avec un multi-exp permettant de faire gagner de l’expĂ©rience Ă  tous vos PokĂ©mon dĂšs que vous faites un combat qui est activĂ© par dĂ©faut et qui ne pourra pas ĂȘtre dĂ©sactivĂ©. De mĂȘme, lors des combats, si vous avez dĂ©jĂ  affrontĂ© un PokĂ©mon vous aurez des aides pour savoir quelles attaques sont efficaces face Ă  votre adversaire. Du cĂŽtĂ© des capacitĂ©s secrĂštes, il n’est plus obligatoire de les apprendre Ă  vos PokĂ©mon. Vous allez pouvoir utiliser coupe, vol, Ă©clate roc ou encore surf grĂące Ă  votre PokĂ©montre une fois que vous aurez remportĂ© les diffĂ©rents badges. Pour ce qui est de la PokĂ©montre justement, cette derniĂšre est un vĂ©ritable calvaire sans le second Ă©cran de la Nintendo DS et nous sommes obligĂ©s de la dĂ©sactiver pour notre confort de jeu. Mon avis sur PokĂ©mon Diamant Étincelant et PokĂ©mon Perle Scintillante © En gardant le cĂŽtĂ© old-school avec ses bons et ses mauvais cĂŽtĂ©s, le studio ILCA propose un remake sympathique qui plaira aux fans de la premiĂšre heure et proposera une aventure inĂ©dite et intĂ©ressante aux joueurs qui n’ont pas eu la chance de dĂ©couvrir les jeux originaux. On apprĂ©cie les petites nouveautĂ©s dont les nouvelles zones qui rajouteront quelques heures supplĂ©mentaires Ă  votre voyage dans la rĂ©gion de Sinnoh. PokĂ©mon Diamant Étincelant 44,99€ On aime Une aventure "classique" qui sent bon la nostalgie Les nouvelles zones sous-terrains et Parc Rosa Rugosa Graphiquement trĂšs sympa surtout en mode portable TrĂšs bonne durĂ©e de vie Les fonctionnalitĂ©s en ligne sympathiques On aime moins Pas toujours trĂšs beau De vieilles mĂ©caniques qui passent mal en 2021 Trop facile Le contenu de PokĂ©mon Platine n'est pas prĂ©sent

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